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La mobilité professionnelle se transforme sous la pression de la réglementation (malus, taxe incitative, LOM), de la hausse des coûts et des aspirations sociétales. L’autopartage d’entreprise – une flotte de véhicules mutualisés accessible via une application – apporte une réponse concrète. En optimisant l’utilisation des voitures et en remplaçant le véhicule de fonction par un pool partagé, les organisations réduisent leurs coûts et leur empreinte carbone tout en offrant plus de flexibilité à leurs collaborateurs. Ce guide décrypte les atouts de l’autopartage, ses modèles, ses bénéfices fiscaux et RSE, et fournit un plan d’action pour le mettre en place.
L’autopartage permet à plusieurs collaborateurs de se partager une voiture sans l’utiliser en même temps. Chacun réserve un véhicule via une application pour un trajet ou une plage horaire, le déverrouille avec son badge ou son smartphone et le restitue ensuite. Contrairement au covoiturage (partage d’un trajet à plusieurs), l’autopartage repose sur une mutualisation du véhicule. Les plateformes numériques gèrent les réservations, l’accès sans clé, le suivi des trajets et la facturation.
Les entreprises peuvent choisir plusieurs configurations :
Le covoiturage consiste à partager un trajet avec un conducteur qui se rend au même endroit, alors que l’autopartage partage la voiture elle‑même, pas le trajet. Ces solutions sont complémentaires : le covoiturage réduit les déplacements domicile‑travail, l’autopartage optimise les véhicules de service et évite les flottes dormantes.
Un véhicule de fonction reste inutilisé la majeure partie du temps et coûte en moyenne plusieurs milliers d’euros par an en achat ou location, entretien, assurance, carburant et taxes. En mutualisant la flotte, les entreprises :
Ces économies s’accompagnent d’un gain de trésorerie puisque les véhicules inutiles peuvent être revendus ou restitués. Elles permettent aussi de réallouer des ressources vers des investissements à plus forte valeur ajoutée.
L’autopartage allège la fiscalité liée à la flotte :
Au‑delà des gains financiers, l’autopartage agit sur l’empreinte environnementale :
L’autopartage améliore la qualité de vie des collaborateurs :
Assurez-vous que votre contrat d’assurance couvre l’usage partagé et prévoyez des règles claires pour la déclaration des dommages. Encadrez l’usage personnel en clarifiant les conditions de remboursement et de déclaration de l’avantage en nature. Informez les salariés sur la collecte et le traitement de leurs données de géolocalisation conformément au RGPD.
Pour piloter l’autopartage, suivez régulièrement :
Avec Evera Fleet, ces indicateurs sont calculés automatiquement. L’outil vous permet d’identifier les véhicules sous‑utilisés, de planifier les renouvellements et d’estimer les économies potentielles grâce au simulateur TCO.
Le succès d’un programme d’autopartage repose sur l’adhésion des utilisateurs.
L’autopartage en entreprise représente un levier majeur pour optimiser la mobilité professionnelle. Il réduit les coûts, allège la fiscalité, améliore l’empreinte carbone et renforce l’engagement RSE. Avec une solution comme Evera Fleet, il est possible de gérer facilement un parc partagé, de suivre les indicateurs clés et d’impliquer les collaborateurs dans une démarche durable. En mettant en œuvre l’autopartage dès aujourd’hui, votre entreprise se dote d’un avantage concurrentiel et participe activement à la transition vers une mobilité responsable.

La taxe carbone est un levier fiscal qui vise à accélérer la transition écologique en donnant un prix aux émissions de CO2. En renchérissant le coût des énergies fossiles, elle incite les entreprises et les particuliers à réduire leur consommation et à se tourner vers des alternatives plus propres comme les véhicules électriques. Voyons en détail le fonctionnement et les enjeux de ce mécanisme clé de la lutte contre le réchauffement climatique.

La taxe carbone est un levier fiscal qui vise à accélérer la transition écologique en donnant un prix aux émissions de CO2. Concrètement, elle renchérit le coût des énergies fossiles comme l'essence, le diesel ou le gaz, en proportion de leur contenu en carbone. L'objectif est d'envoyer un signal-prix pour inciter entreprises et particuliers à réduire leur consommation de ces énergies et à se tourner vers des alternatives moins polluantes.
Ce mécanisme repose sur le principe du pollueur-payeur. Plus une activité émet de CO2, plus elle sera taxée. Cela encourage l'adoption de technologies et comportements plus sobres en carbone, comme les véhicules électriques pour les professionnels. La taxe carbone permet ainsi d'intégrer le coût environnemental des émissions dans les prix, là où il était auparavant ignoré.
Prenons l'exemple d'une PME du secteur informatique qui dispose d'une flotte de 20 véhicules de fonction diesel. Avec l'augmentation progressive de la taxe carbone, le budget carburant de l'entreprise s'alourdit chaque année. En basculant vers des véhicules électriques en LLD, la PME pourrait réduire ce poste de dépense tout en diminuant son empreinte carbone. La taxe crée donc une incitation économique à évoluer vers des solutions plus durables.
| Énergie | Taux de taxe carbone en 2018 |
|---|---|
| Gazole | 7,6 cts€/litre |
| Essence | 5,9 cts€/litre |
| Gaz naturel | 3,4 cts€/m3 |
| Fioul lourd | 18,3 €/tonne |
| Charbon | 14,6 €/tonne |
En France, la taxe carbone s'applique principalement aux carburants fossiles. Depuis 2014, elle est intégrée aux taxes sur les produits énergétiques (TICPE), qui comprennent la TICPE stricto sensu et la TVA. Les entreprises sont donc directement impactées via leur consommation de gazole et d'essence.
La taxe concerne aussi le gaz naturel, le fioul lourd et les charbons utilisés notamment pour le chauffage des bâtiments. Son montant étant proportionnel aux émissions de CO2 des différentes énergies, il varie selon les produits. En 2018, la composante carbone représentait par exemple 7,6 centimes par litre de gazole et 5,9 centimes par litre d'essence. Pour réduire leur facture, les entreprises ont donc intérêt à s'orienter vers des véhicules et équipements plus économes.

La taxe carbone s'applique à tous les acteurs économiques, des grandes entreprises aux PME en passant par les artisans et commerçants. Certains secteurs y sont particulièrement exposés de par l'importance des carburants dans leurs coûts d'exploitation. C'est le cas du transport routier, qui a vu le prix du gazole augmenter depuis l'introduction de la taxe.
Les professionnels qui utilisent des véhicules thermiques pour leurs déplacements (commerciaux, taxis, artisans) ou des engins fonctionnant au diesel ou au gaz (BTP, industrie) sont aussi directement concernés. Pour ces entreprises, la taxe carbone représente un surcoût qui pèse sur leurs marges. Passer à l'électrique devient un impératif pour rester compétitif.
Prenons le cas d'un artisan plombier réalisant une centaine de déplacements par mois avec son utilitaire diesel. Avec la taxe à son niveau de 2018, il devra payer environ 100€ de plus en carburant chaque année. En remplaçant son véhicule par un modèle électrique en LLD, il pourrait économiser plusieurs centaines d'euros par an tout en gagnant en confort d'usage. Pour les petites entreprises, c'est loin d'être négligeable.
| Secteur | Exemption |
|---|---|
| Transport routier | 15 cts€/L de gazole |
| Taxis et VTC | Remboursement partiel TICPE |
| Aviation, pêche, maritimes | Carburants hors champ TICPE |
| Industrie, agriculture | Taux réduit si risque de fuite carbone |
| Électricité | Hors champ (autres taxes) |
Certains secteurs bénéficient toutefois d'exonérations totales ou partielles au nom de leur sensibilité à la concurrence internationale. C'est le cas du transport routier de marchandises, exempté depuis 2014 à hauteur de 15 centimes par litre de gazole. Les taxis et VTC profitent aussi d'un remboursement partiel de TICPE.
L'aviation, la pêche et le transport maritime ne sont pas soumis à la taxe, leurs carburants n'étant pas couverts par la TICPE. Dans l'industrie et l'agriculture, les entreprises grandes consommatrices d'énergie exposées à un risque de "fuite de carbone" (délocalisation vers des pays à fiscalité carbone plus faible) peuvent aussi demander un taux réduit. Enfin, la composante carbone ne s'applique pas à l'électricité, déjà soumise à des taxes spécifiques. Un argument de plus pour choisir des véhicules électriques !

La taxe carbone est plébiscitée par la plupart des économistes comme un outil de réduction des émissions. En donnant un prix au carbone, elle force les acteurs économiques à internaliser son coût environnemental et modifie les comportements en faveur de solutions bas carbone. Selon une étude de l'OCDE, la taxe carbone en France a conduit à une baisse de 5% des émissions de CO2 en 2018.
Sur le long terme, cette taxe doit permettre de déplacer les investissements vers des technologies propres. Pour les entreprises, c'est un signal fort les invitant à repenser leur mix énergétique. Les solutions électriques comme les véhicules en location longue durée, exemptés de taxe carbone, deviennent bien plus attractives d'un point de vue économique et environnemental.
D'après une simulation de l'ADEME, remplacer un véhicule thermique parcourant 20 000 km/an par un modèle électrique permet d'éviter le rejet de 2 tonnes de CO2 par an. Pour une entreprise disposant de 10 véhicules, c'est donc un potentiel de réduction de 20 tonnes, soit l'équivalent de 892 € de taxe carbone économisée chaque année au taux actuel de 44,60 €/tonne. À l'échelle nationale, la généralisation de l'électrique dans les flottes pourrait réduire les émissions des transports, responsables de 38 % du CO2 en France.
Mais dans sa mise en œuvre actuelle, la taxe carbone soulève aussi des critiques. Son impact sur les ménages modestes, très dépendants de leur voiture, est souvent jugé socialement injuste. La crise des gilets jaunes a montré les limites d'une logique punitive sans alternatives crédibles ni compensations.
De nombreuses voix appellent aussi à affecter l'intégralité de ses recettes au financement de la transition, et dénoncent les exemptions accordées à certains secteurs. Pour être efficace et acceptée, la taxe carbone doit donc monter en puissance de façon progressive et prévisible, en veillant à corriger ses effets anti-redistributifs. Et elle ne suffira pas sans une politique globale en faveur des mobilités durables et de la rénovation énergétique.
Pour optimiser l'effet incitatif de la taxe carbone, plusieurs pistes d'amélioration sont à étudier. On pourrait imaginer des mécanismes de bonus malus selon les émissions des véhicules, sur le modèle de ce qui existe pour l'achat des voitures particulières. Les recettes de la taxe pourraient aussi être utilisées pour subventionner plus le renouvellement des flottes professionnelles vers l'électrique. Enfin, la convergence des fiscalités gazole et essence prévue d'ici 2042 enverra un signal clair en faveur des motorisations zéro émission.
| Année | Prix taxe carbone (€/t) | Surcoût annuel (5 véhicules) |
|---|---|---|
| 2018 | 44,60 | 480 € |
| 2022 | 65,00 (estimation) | 700 € |
| 2025 | 80,00 (estimation) | 864 € |
| 2030 | 100,00 (objectif) | 1 080 € |
Introduite à 7€/tonne de CO2 en 2014, la taxe carbone avait vocation à augmenter chaque année pour atteindre 100€/tonne en 2030. Mais face au mouvement des Gilets jaunes fin 2018, le gouvernement a décidé de geler son montant à 44,60€/tonne, soit 8 centimes par litre d'essence et 9 centimes par litre de diesel.
Ce coup d'arrêt a mis en lumière la difficulté de concilier urgence climatique et justice sociale. Car si une augmentation est nécessaire pour changer les comportements, elle est difficile à faire accepter sans mesures d'accompagnement. À court terme, un dégel et une convergence progressive gazole/essence sont probables. Puis la montée en charge devrait reprendre pour atteindre 100€/tonne, voire plus selon les recommandations d'experts.
Prenons le cas d'une entreprise de services disposant de 5 véhicules essence parcourant chacun 15 000 km/an. Avec un prix de la taxe gelé à 44,60 €/tonne (0,08€/litre), le surcoût annuel est de 480 €. Mais si la taxe augmente à 100€/tonne comme prévu initialement, ce surcoût passerait à 1 080 € par an !
C'est une augmentation qui doit inciter l'entreprise à accélérer sa transition vers des véhicules propres. En optant pour la location longue durée de véhicules électriques, elle pourrait fixer son budget mobilité sur plusieurs années sans risque de dérive.
Comparaison avec les niveaux de taxation carbone à l'étranger
| Pays ou zone | Prix moyen du carbone ($/tonne) |
|---|---|
| France | 52 |
| Suède | 123 |
| Allemagne | 33 |
| UE | 45 |
| Monde | 2 |
Avec un prix de 44,60€/tonne, la France se situe dans la moyenne européenne. Certains de nos voisins sont allés bien plus loin, à l'image de la Suède qui affiche une taxe à 123$/tonne. Mais de nombreux pays n'ont pas encore franchi le pas, expliquant le faible prix moyen du carbone dans le monde (2$/tonne).
Un rapport de la Banque mondiale recommande pourtant un prix entre 50 et 100$/tonne d'ici 2030 pour respecter les objectifs de l'Accord de Paris. L'UE réfléchit d'ailleurs à une taxe carbone aux frontières pour éviter les distorsions de concurrence en taxant les produits importés. Alors que ces mécanismes devraient se généraliser, mieux vaut prendre les devants en réduisant son empreinte carbone.
Pour une PME exportatrice, surveiller ce que font les autres pays en matière de taxe carbone est essentiel. Si ses concurrents étrangers sont moins taxés, elle risque de perdre en compétitivité. À l'inverse, si elle prend de l'avance en décarbonant sa flotte, elle sera mieux armée lorsque les taxes s'harmoniseront à la hausse. C'est particulièrement vrai pour les entreprises qui exportent hors de l'UE et pourraient être concernées par la future taxe aux frontières. En anticipant cette tendance de fond, elles transformeront une potentielle menace en avantage compétitif.
| Motorisation | Coût à l'achat | Coût du carburant/électricité | Taxe carbone | Coût total sur 3 ans |
|---|---|---|---|---|
| Thermique | 20 000 € | 6 000 € | 1 500 € | 27 500 € |
| Électrique | 30 000 € | 1 500 € | 0 € | 31 500 € |
| Hybride | 25 000 € | 3 000 € | 800 € | 28 800 € |
Pour les entreprises, le montant de la taxe carbone à payer dépend directement de leur consommation d'énergies fossiles comme l'essence, le diesel, le fioul ou le gaz. Un suivi et régulier des émissions de CO2 générées par l'activité est donc indispensable pour évaluer le coût de cette taxe.
La mise en place d'outils de mesure et d'un reporting environnemental permet d'établir un état des lieux de l'impact carbone, d'identifier les principaux postes d'émissions et de simuler le montant de taxe associé. Ce suivi constituera une base solide pour définir un plan d'actions de réduction du CO2.
Par exemple, une PME du secteur technologique pourrait commencer par réaliser un bilan carbone complet de son activité, en analysant notamment les déplacements professionnels et les consommations d'énergie de ses bâtiments. En s'appuyant sur des outils de suivi des consommations et un tableur, elle pourrait ensuite suivre mensuellement ses émissions et la taxe carbone associée.
Avec une taxe carbone à 44,60 € par tonne de CO2 en France, qui rapportait plus de 9 milliards d'euros en 2018, son impact financier est loin d'être négligeable pour les entreprises. Intégrer le coût des émissions dans le calcul du coût total de possession des véhicules devient important.
Prendre en compte le prix de la taxe carbone dans les projections financières permettra de mieux objectiver le choix des motorisations. Les modèles électriques, exemptés de taxe, gagnent en compétitivité face aux motorisations thermiques. Les entreprises ont donc tout intérêt à accélérer l'électrification de leur flotte.En intégrant le coût de la taxe carbone dans le calcul du coût total de possession (TCO), on constate que le surcoût initial des motorisations électriques est en grande partie compensé par les économies de carburant et l'exemption de taxe. Sur 3 ans, un véhicule électrique devient plus compétitif qu'un modèle thermique équivalent.
Pour les entreprises disposant encore de véhicules thermiques, l'optimisation de leur usage est un levier immédiat pour réduire la facture carbone. L'écoconduite, en adoptant une conduite souple et anticipée, permet de diminuer la consommation de carburant et donc les émissions de CO2.
Le covoiturage entre collaborateurs et l'autopartage sont aussi des pratiques à encourager. Elles apportent plus de flexibilité et de rentabilité dans les déplacements professionnels, tout en créant du lien. La digitalisation facilite la mise en place de ces usages collaboratifs.
Prenons l'exemple d'une entreprise qui dispose d'une flotte de 20 véhicules thermiques. En formant ses collaborateurs à l'écoconduite et en les incitant au covoiturage, elle pourrait réduire de 10% sa consommation de carburant. En mettant en place une plateforme d'autopartage, elle pourrait également diminuer de 20% le nombre de véhicules nécessaires. Des gains significatifs pour le budget et l'empreinte carbone.
La conversion à l'électrique est incontournable pour sortir de la dépendance aux énergies fossiles taxées. Les offres packagées de location longue durée (LLD) permettent de franchir le pas sereinement, sans immobiliser de capital. Avec un service tout inclus et une tarification à l'usage, les entreprises gagnent en agilité.
Pour accompagner ce passage à l'électrique, les entreprises doivent aussi adapter leur infrastructure, en installant des bornes de recharge sur site et en négociant l'accès à des réseaux de recharge publics. Opter pour des véhicules avec une autonomie adaptée aux besoins réels est aussi important pour garantir leur bon usage.
Par exemple, Jean-Michel, DAF indépendant, a simplifié sa gestion de mobilité en optant pour un véhicule électrique premium en LLD chez Evera. Livré en 72h avec une borne de recharge, un accès aux réseaux publics et une application dédiée, cette solution clé-en-main lui apporte sérénité et flexibilité. Il peut ainsi se concentrer sur son activité, tout en réduisant son empreinte carbone.
L'adhésion des collaborateurs est clé pour réussir la transition vers une mobilité plus durable. Plutôt que d'imposer des solutions, mieux vaut les inclure dans la réflexion et le choix des nouvelles motorisations et services, pour coller au mieux à leurs attentes.
La mise en place d'un budget mobilité individuel permet d'aller plus loin. En allouant une enveloppe à chacun pour composer son mix de mobilité idéal, entre véhicule, transports en commun, autopartage, vélo… Les entreprises responsabilisent leurs équipes, tout en maîtrisant leur budget. Une approche gagnant-gagnant.
Voici un exemple de budget mobilité qui pourrait être proposé aux collaborateurs d'une entreprise, avec plusieurs scénarios possibles :
| Profil de mobilité | Véhicule électrique | Transports en commun | Autopartage | Vélo électrique | Total budget |
|---|---|---|---|---|---|
| Grand rouleur | 500 € | 50 € | 0 € | 0 € | 550 € |
| Trajets mixtes domicile-bureau | 200 € | 200 € | 1O0 € | 50 € | 550 € |
| Urbain sans voiture | 0 € | 300 € | 150 € | 100 € | 550 € |
En proposant un budget mobilité identique pour tous, avec une grande flexibilité dans sa composition, l'entreprise incite ses collaborateurs à opter pour des pratiques de mobilité plus durables, sans les contraindre. Cela valorise aussi les efforts faits par certains pour se passer de la voiture. Le dialogue et la pédagogie permettent de trouver le bon équilibre.
Si la taxe carbone représente indéniablement une charge supplémentaire, elle constitue aussi un aiguillon pour repenser son modèle et ses pratiques. Les entreprises qui sauront faire de cette contrainte un moteur d'innovation et de différenciation en sortiront renforcées.
En challengeant ses habitudes de déplacement, en testant des motorisations alternatives, en s'appuyant sur le digital et les data pour optimiser les flux, la taxe carbone pousse à expérimenter et à innover. Les entreprises pionnières se doteront ainsi d'un avantage compétitif.
Prenons le cas d'une grande entreprise qui doit convertir sa flotte de 500 véhicules à l'électrique. Au-delà du simple remplacement des motorisations, elle peut saisir cette opportunité pour repenser l'organisation des déplacements. En s'appuyant sur des outils de télématique et d'optimisation de tournées, elle peut par exemple réduire les kilomètres parcourus de 20%. En déployant massivement le télétravail et la visioconférence, elle peut aussi supprimer une partie des déplacements. Des changements de fond qui renforcent sa performance, tout en réduisant son empreinte carbone.
À l'heure où les consommateurs sont de plus en plus attentifs à l'impact environnemental, où les investisseurs scrutent l'extra-financier, où les talents choisissent leur employeur sur des critères de sens, s'engager dans une mobilité bas carbone devient un marqueur fort et valorisable.
L'exemplarité en matière de réduction des émissions de CO2 contribue positivement à la marque employeur comme à l'image de marque. C'est un argument à intégrer dans sa communication corporate et RH. Cet engagement est aussi un atout commercial face à des clients de plus en plus exigeants sur l'impact climatique de leurs fournisseurs.
En résumé, la taxe carbone est un puissant outil pour accélérer la transition vers une mobilité plus durable dans les entreprises. Si elle implique des changements importants et des investissements, les bénéfices à long terme sont nombreux : baisse des coûts d'usage, réduction de l'empreinte environnementale, valorisation de l'image de marque... Les entreprises doivent dès maintenant intégrer son évolution dans leurs choix stratégiques et opérationnels.
Avec des outils de pilotage adaptés, des offres de mobilité innovantes comme la LLD électrique et une approche collaborative, les entreprises peuvent transformer la contrainte carbone en opportunité. Plus qu'une taxe, c'est une invitation à repenser la mobilité pour conjuguer performance économique et environnementale. Un défi stimulant pour construire un futur plus durable.

L'autopartage électrique s'impose comme une solution durable et économique pour optimiser la mobilité d'entreprise. En mutualisant une flotte de véhicules zéro émission, ce système offre flexibilité et maîtrise des coûts aux professionnels. Découvrez comment l'autopartage électrique transforme les déplacements en entreprise, au bénéfice de l'environnement et de la performance.
| Avantages de l'autopartage | Description |
|---|---|
| Réduction des coûts | Économies sur l'achat, l'assurance et l'entretien des véhicules |
| Flexibilité | Réservation à la demande, selon les besoins ponctuels ou réguliers |
| Responsabilité environnementale | Diminution des émissions de CO2 et de l'empreinte carbone |
| Utilisation optimisée | Mutualisation des véhicules entre plusieurs utilisateurs |
L'autopartage est un système qui permet de mutualiser une flotte de véhicules entre plusieurs utilisateurs. Concrètement, les usagers peuvent réserver un véhicule pour une durée déterminée, allant de quelques heures à plusieurs jours, selon leurs besoins. Ce modèle offre une flexibilité et libère les utilisateurs des contraintes liées à la possession d'un véhicule personnel, telles que l'assurance, l'entretien ou encore le stationnement.
En optant pour l'autopartage, les entreprises peuvent réduire significativement leurs coûts de mobilité. En effet, elles n'ont plus à gérer une flotte de véhicules en propre, ce qui représente des économies en termes d'achat, d'assurance et d'entretien. Prenons l'exemple d'une PME dans le secteur technologique qui utilise l'abonnement flexible d'Evera pour s'adapter à ses besoins de croissance, sans avoir à investir dans l'acquisition de véhicules supplémentaires.
De plus, l'autopartage encourage une utilisation raisonnée des véhicules, contribuant ainsi à réduire les émissions de CO2 et l'empreinte environnementale de l'entreprise.
Les différents types d'autopartage

Il existe différents modèles d'autopartage adaptés aux besoins des entreprises. L'autopartage en boucle est indiqué pour les déplacements professionnels locaux, avec un retour du véhicule à son point de départ. Ce système est simple à gérer et garantit la disponibilité des véhicules pour les collaborateurs.
Pour plus de flexibilité, l'autopartage en trace directe permet de restituer le véhicule dans une autre station que celle de départ. Cette formule est idéale pour les trajets professionnels ponctuels ou les déplacements entre différents sites de l'entreprise. Enfin, l'autopartage en free-floating, sans station attitrée, offre une liberté pour des déplacements urbains spontanés.
Au-delà des offres proposées par des opérateurs spécialisés, l'autopartage peut également se développer en interne, entre collaborateurs d'une même entreprise. Cette approche favorise l'optimisation de l'utilisation des véhicules et renforce la cohésion au sein des équipes.
Des plateformes de mise en relation permettent aussi aux entreprises de louer ponctuellement les véhicules de particuliers, offrant ainsi une solution flexible pour répondre aux pics d'activité ou à des besoins. Cette démarche s'inscrit dans une logique d'économie collaborative et de consommation responsable.
| Besoins ponctuels | Solution d'autopartage |
|---|---|
| Pic d'activité | Réservation de véhicules supplémentaires |
| Mission spécifique | Choix du type de véhicule adapté |
| Véhicule immobilisé | Remplacement temporaire par un véhicule partagé |
Pour les petites structures et les indépendants, l'autopartage représente une opportunité de réduire les coûts liés à la mobilité. En évitant l'achat et l'entretien d'un véhicule dédié, ces professionnels peuvent réaliser des économies et allouer leurs ressources à leur cœur d'activité.
De plus, l'autopartage permet une gestion fluide et rationalisée des déplacements professionnels. Avec des formules d'abonnement flexibles et sans engagement, les TPE peuvent adapter leur budget mobilité en temps réel, en fonction de leurs besoins. Cette maîtrise des coûts est un atout pour la pérennité et le développement de leur activité.
Prenons l'exemple de Jean-Michel, DAF indépendant, qui a choisi de simplifier sa gestion de mobilité grâce à un véhicule électrique premium livré rapidement par Evera. En optant pour une formule d'abonnement adaptée à ses déplacements ponctuels, il a pu réduire ses frais de mobilité tout en bénéficiant d'un véhicule haut de gamme.
L'un des avantages de l'autopartage pour les petites structures est la possibilité d'adapter leur flotte de véhicules à leurs besoins ponctuels. Qu'il s'agisse de répondre à un pic d'activité, de réaliser une mission ou de remplacer temporairement un véhicule immobilisé, l'autopartage offre une solution sur-mesure.
Cette flexibilité est précieuse pour les indépendants et les TPE, qui peuvent ainsi éviter les coûts fixes liés à la possession d'un véhicule sous-utilisé. En optant pour l'autopartage, ils ont accès à une flotte mutualisée, disponible à la demande, pour un coût maîtrisé. Cette approche agile leur permet de se concentrer sur leur cœur de métier, sans contrainte de gestion.

Le secteur des transports est l'un des émetteurs de gaz à effet de serre. En adoptant l'autopartage avec des véhicules électriques, les entreprises peuvent réduire significativement leur empreinte carbone. En effet, les véhicules électriques n'émettent pas de CO2 lors de leur utilisation et sont adaptés aux déplacements urbains.
De plus, l'autopartage encourage une utilisation raisonnée des véhicules, en favorisant le covoiturage et la multimodalité. En combinant autopartage et transports en commun ou modes doux, les collaborateurs optimisent leurs déplacements et contribuent à réduire la pollution atmosphérique en ville. Cette démarche éco-responsable est un atout pour l'image de l'entreprise.
Au-delà de son impact sur les émissions de CO2, l'autopartage a aussi un effet positif sur la congestion urbaine et l'occupation de l'espace public. En mutualisant les véhicules, ce système permet de réduire le nombre de voitures en circulation et en stationnement. Ainsi, un véhicule en autopartage peut remplacer jusqu'à 8 voitures particulières et libérer 80% de l'espace public.
Cette optimisation de l'usage des véhicules est bénéfique pour les entreprises implantées en milieu urbain. En réduisant leur flotte de véhicules de fonction au profit de l'autopartage, elles peuvent diminuer leurs besoins en stationnement et réaliser des économies en termes de coûts immobiliers. Elles contribuent aussi à améliorer la qualité de vie en ville, en libérant de l'espace pour d'autres usages.

Pour les entreprises soucieuses de leur impact environnemental et de leur efficacité économique, l'autopartage s'impose comme une solution d'avenir. En intégrant cette approche dans leur plan de mobilité, elles anticipent les évolutions du secteur et se positionnent comme des acteurs responsables et innovants.
Concrètement, cela suppose de repenser la politique de déplacements professionnels, en favorisant les modes de transport durables et partagés. L'autopartage peut ainsi être combiné avec d'autres solutions, comme le covoiturage, les transports en commun ou encore le vélo, pour offrir aux collaborateurs une palette de services adaptés à leurs besoins. Cette démarche volontariste est un levier de performance et d'attractivité pour l'entreprise.
| Critères de choix | Solutions Evera |
|---|---|
| Services inclus | Assurance, entretien, assistance 24/7 |
| Accompagnement | Conseil personnalisé pour définir la solution adaptée |
| Innovation | Véhicules électriques connectés et application de gestion |
Face aux enjeux de la transition écologique et de la transformation des modes de travail, les entreprises doivent faire preuve d'agilité dans leur approche de la mobilité. L'autopartage s'inscrit pleinement dans cette dynamique, en proposant des solutions flexibles et évolutives.
En choisissant un opérateur comme Evera, les entreprises bénéficient d'un accompagnement sur-mesure pour définir la solution la plus adaptée à leurs besoins. Avec des formules d'abonnement souples, sans engagement et incluant tous les services (assurance, entretien, assistance), elles peuvent composer leur mix de mobilité en toute liberté. Cette approche leur permet d'être réactives face aux évolutions du marché et de s'adapter en permanence aux attentes de leurs collaborateurs.
En conclusion, l'autopartage électrique offre aux entreprises une solution durable et économique pour optimiser leur mobilité. Il permet de réduire les coûts, de gagner en flexibilité et d'agir en faveur de l'environnement, tout en libérant l'espace urbain. En intégrant cette approche dans leur stratégie, les entreprises anticipent les évolutions de la mobilité et renforcent leur attractivité.
Avec des solutions sur-mesure comme celles proposées par Evera, l'autopartage électrique s'adapte aux besoins de chaque structure, des indépendants aux grands groupes. Une révolution est en marche dans la mobilité d'entreprise. Serez-vous prêts à relever le défi de l'autopartage pour transformer durablement vos déplacements professionnels ?

La Renault Mégane E-Tech EV60 Techno Optimum Charge est la référence parmi les véhicules électriques de la gamme Renault, offrant une combinaison parfaite de design moderne, de performances électriques impressionnantes et d’innovations technologiques avancées.
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Dotée d’un moteur électrique de 220 chevaux, la Mégane E-Tech EV60 propose une conduite fluide et réactive, idéale pour les déplacements urbains comme pour les longs trajets.
Sa batterie de 60 kWh offre une autonomie jusqu’à 470 km WLTP, ce qui permet de parcourir de longues distances sans contraintes.

La Renault Mégane E-Tech EV60 dans sa version techno se distingue par son design extérieur audacieux et raffiné.
Avec ses lignes sculptées et son allure dynamique. On la reconnaît grâce à ses phares LED en forme de C lui confèrent à cette berline une allure moderne et confirment son identité électrique.
L'absence de calandre traditionnelle lui donne son caractère haut de gamme.

Cette Mégane 100 % électrique respecte tout d’une compacte avec ses dimensions parfaites d’une compacte avec 4m21 de longueur par 1m78 de largeur et 1m50 de hauteur. Ce qui lui permet d’être une voiture électrique familiale de taille moyenne. Ses dimensions sont parfaites pour rester un véhicule polyvalent.

Un point très apprécié pour cette Mégane est son coffre qui est généreux offrant 440 L de capacité, ce qui est supérieur à ce que l’on peut retrouver sur le marché. Néanmoins, son seuil de chargement est haut ce qui pourrait poser problème pour le chargement d’équipement lourd. Ce coffre a un double fond, idéal pour y ranger nos câbles de recharge.

Son extérieur a bien été travaillé par Renault, on y retrouve des détails chromés. Au niveau des portes, on a des poignées affleurantes, le tout apporte une touche élégante à ce véhicule électrique. En version Techno, on retrouve quelques détails chromés et des jantes de 20 pouces qui rehaussent son allure.

Côté multimédia, la Mégane E-Tech EV60 ne laisse rien au hasard.
Elle offre une expérience connectée et intuitive grâce à son tableau de bord openR de 12 pouces avec Google intégré, une première dans la gamme Renault. L'interface est réactive, intuitive, et bien pensée pour les conducteurs.
On va pouvoir utiliser Google Maps comme planificateur de trajectoire pour une navigation précise en électrique nous propose des itinéraires adaptés et personnalisés. La Mégane E-Tech nous offre un son de haute qualité avec 6 haut-parleurs Harman Kardon pour une expérience sonore exceptionnelle. Elle dispose également d’un chargement par induction pour smartphones, d'une connectivité Bluetooth et d'un système de navigation connecté, le tout complété par une application mobile qui permet le contrôle à distance du véhicule, offrant ainsi une gestion simplifiée et moderne au quotidien.
On va avoir derrière le volant l’écran pilote qui fait 12.3 pouces avec toutes les informations nécessaires à votre conduite comme le pourcentage de batterie, l’autonomie restante ou encore notre consommation moyenne et la consommation directe.

Malgré son profil compact, notre Mégane 100 % électrique offre un espace intérieur spacieux et les matériaux de qualité, tels que les finitions en tissu recyclé, plastique dur et insert métalliques.

Les sièges offrent un excellent confort avec un soutien lombaire ajustable, idéal pour les longs trajets. Les sièges avant sont chauffants et réglables en hauteur, de l'inclinaison du dossier et des lombaires en manuel, dommage pour cette voiture électrique.
Les sièges sont en tissu de haute qualité avec des motifs modernes, combinés à des insertions en similicuir sur les parties latérales pour une touche plus premium.
Des matériaux écoresponsables sont intégrés, conformément à l'engagement de Renault pour une production plus durable, notamment des textiles issus de matériaux recyclés.
À l’arrière, on a un empattement de 2m70, la garde au toit est assez basse. On est sur 3 places arrière totalement exploitables, mais si vous êtes d’un grand gabarit vous risquez d’être à l’étroit. Les vitres arrière sont surteintées, et bémol elles ne descendent pas jusqu’en bas.

Dans sa finition EV 60 techno, notre Renault Mégane possède 220 ch fournit une accélération dynamique, avec un 0 à 100 en seulement 7,4 secondes. La Mégane E-tech offre de très bonnes performances, avec une accélération fluide et réactive.
La Mégane E-Tech EV60 comme sa version l’indique, possède une batterie de 60 kWh ce qui est peu sur le marché néanmoins, elle offre une bonne motorisation à notre véhicule.

Avec une consommation mixte de 16 - 18 kW/100 km, la Renault Mégane E-Tech est une excellente proposition sur le marché des compactes électriques, avec une consommation maîtrisée et des performances équilibrées.
La Renault Mégane E-Tech 60 kWh offre une autonomie réelle compétitive dans la catégorie des véhicules compacts électriques. Le constructeur français annonce jusqu’à 470 km WLTP d’autonomie. Par rapport aux autres véhicules électriques de taille similaire, comme la Volkswagen ID.3, la Mégane E-Tech se positionne bien.

En conditions de routes réelles, on se situe entre 300 km d’autonomie pour une utilisation 100 % autoroute à 130km/h et 550 km pour un usage 100 % urbain à 30 km/h. La perte d’autonomie réelle de la Mégane E-Tech par rapport au cycle WLTP peut sembler marquée, mais elle est en réalité comparable à celle de nombreux modèles dans la même catégorie. Elle est moins efficace que certains concurrents sur autoroute, mais excelle en milieu urbain et sur des trajets mixtes.
La Mégane E-Tech est un véhicule bien adapté pour des usages mixtes avec 16-18 kW/100 km et urbains avec 13-15 kW/100 km, mais avec une consommation qui peut être légèrement supérieure sur de longs trajets autoroutiers avec 19- 20 kW/100 km. À noter, en conditions hivernales, sa consommation peut dépasser les 20 kWh/100 km, une valeur standard dans ce segment.

Sur cette version techno Optimum charge on a une puissance max de 22 kW en courant alternatif contre 11 kW sur les autres versions de la Renault Mégane E-Tech. Optimum charge qui va diviser notre temps de recharge par 3 contrairement à la version Super Charge qui est de série proposant une charge 3 heures.

Pour une recharge en courant continue, nous sommes sur une puissance maximum de 130 KW, on va pouvoir faire une recharge de 20-80% en 30 min ce qui correspond environ à 300 km d’autonomie.

Gros bémol pour notre Mégane E-Tech, sa courbe de chargement avec une phase initiale de 10 à 30 % à une puissance de 130 - 100 kW puis la puissance de chargement chute à partir de 40 %.

Sur la route, la Mégane E-Tech EV60 impressionne par son dynamisme.
Avec une accélération de 0 à 100 km/h en seulement 7,4 secondes, elle offre des sensations de conduite tout en maintenant une consommation d’énergie maîtrisée. Renault a fait un excellent travail pour offrir un confort de conduite tout en conservant une certaine sportivité surtout avec son mode sport. Quand on change de mode, on a un tout autre ressenti lors de la conduite notamment avec le mode confort qui est le plus intéressant, on va quand même garder une bonne puissance. Et avec le mode Eco, on va vraiment aller chercher une baisse de la consommation pour optimiser son autonomie.

En matière de sécurité, la Mégane E-Tech check toutes les cases. Elle est équipée d’aides à la conduite, telles que l'assistance au maintien de voie, le régulateur de vitesse adaptatif, et le freinage d'urgence automatique. Ces fonctionnalités augmentent non seulement la sécurité, mais aussi le confort de conduite, en réduisant la fatigue lors des trajets longs ou en milieu urbain dense.

Notre compacte française possède 3 niveaux de freinage régénératif. Pour avoir un vrai effet sur le frein régénératif, le dernier niveau et le plus adapté. Néanmoins, on ne retrouvera pas une conduite dite one-pedal avec un freinage régénératif qui va à l'arrêt complet du véhicule.
De ses dimensions à ses aides à la conduite en passant par sa motorisation. La Mégane E-Tech ev60 est polyvalente autant sur les autoroutes que pour la conduite en ville.
Point négatif que l’on va retrouver à grande vitesse, c’est le bruit du vent.

Le planificateur de trajectoire de la Renault Mégane E-Tech permet d'optimiser la conduite en prenant en compte la topographie de la route et les conditions de circulation. En ajustant la vitesse, la régénération d'énergie et l'accélération, il permet de maximiser l'autonomie tout en assurant une conduite fluide et agréable. Grâce à l'intelligence artificielle, le système apprend le style de conduite du conducteur pour offrir une expérience personnalisée, réduisant ainsi les efforts de conduite.

En conclusion, la Renault Mégane E-Tech EV60 Techno, finition Optimum Charge se présente comme un choix incontournable pour les professionnels en quête d’un véhicule électrique alliant performance, confort et technologie de pointe.
Grâce à son autonomie généreuse et à ses performances optimisées, la Renault Mégane E-Tech EV60 permet de parcourir de grandes distances, son espace intérieur spacieux et ses équipements modernes garantissent une expérience agréable pour les conducteurs et les passagers.
En choisissant la Mégane E-Tech, les entreprises s'assurent une solution efficace et fiable pour leurs besoins de mobilité sur de longues distances.

Le bon état de la batterie est essentiel pour maintenir les performances et l'autonomie de votre véhicule électrique dans la durée. En adoptant les bonnes pratiques de recharge, en anticipant l'impact des conditions climatiques et en suivant régulièrement son état de santé, vous pouvez optimiser sa longévité. Découvrez nos conseils pour préserver efficacement la batterie de votre voiture électrique.
| Facteur de dégradation | Impact sur la batterie | Recommandation |
|---|---|---|
| Vieillissement calendaire | Perte de capacité naturelle dans le temps | Utiliser régulièrement le véhicule, même pour de courts trajets |
| Nombre de cycles charge/décharge | Perte moyenne de 2% de performance par an | Recharger entre 20% et 80% au lieu d'attendre la décharge complète |
| Températures extrêmes (moins de -5°C ou plus de 27°C) | Dégradation accélérée des cellules | Éviter les longs trajets lors de vagues de froid ou de canicule |
| Courants élevés (recharge rapide, fortes accélérations) | Sollicitation de la batterie | Adopter une conduite et éviter les recharges rapides trop fréquentes |

Les batteries de véhicules électriques subissent une perte de capacité naturelle au fil du temps, même lorsqu'elles ne sont pas utilisées. Ce phénomène, appelé vieillissement calendaire, est principalement lié à la réactivité chimique des matériaux qui composent la batterie.
Outre le vieillissement calendaire, le nombre de cycles de charge et décharge à également un impact sur la longévité de la batterie. Chaque année, on observe en moyenne une perte de 2% des performances de la batterie due à ces cycles répétés. Il est donc essentiel de comprendre et de surveiller ces deux facteurs clés pour optimiser la durée de vie de votre batterie.
Prenons l'exemple d'une entreprise de services qui utilise une flotte de véhicules électriques pour ses déplacements professionnels. En analysant les données de ses batteries sur l'année écoulée, elle constate une perte moyenne de capacité de 2,5% sur l'ensemble de ses véhicules. En examinant de plus près les habitudes d'utilisation et de recharge, elle réalise que certains collaborateurs ont tendance à systématiquement attendre que la batterie soit presque vide avant de la recharger à 100%, ce qui sollicite excessivement les cellules. En sensibilisant ses équipes aux bonnes pratiques et en mettant en place un système de recharge régulière entre 20% et 80%, l'entreprise parvient à réduire la dégradation des batteries de sa flotte l'année suivante.

Les températures extrêmes, qu'elles soient très basses ou très élevées, peuvent accélérer la dégradation des cellules de la batterie. Il est déconseillé de faire de longs trajets lorsque la température descend en dessous de -5°C ou dépasse 27°C.
De même, les courants élevés lors de la recharge rapide ou de fortes accélérations sollicitent davantage la batterie et peuvent contribuer à son vieillissement prématuré. Il est donc recommandé d'adopter une conduite et d'éviter les recharges rapides trop fréquentes pour préserver la santé de votre batterie sur le long terme.
Pour un professionnel qui utilise son véhicule électrique pour des déplacements fréquents, il est de tenir compte des conditions climatiques. Par exemple, un commercial amené à sillonner le territoire lors de vagues de froid ou de canicule peut privilégier le train ou le covoiturage pour les longs trajets, et réserver son véhicule électrique aux déplacements plus courts dans un rayon où la température reste modérée. De même, en adoptant une conduite et en anticipant les freinages, il sollicitera moins intensément la batterie qu'avec un style de conduite agressif.
Optimiser la plage de charge

Contrairement aux idées reçues, il n'est pas nécessaire de toujours recharger votre batterie à 100% ou de la vider complètement avant de la brancher. Au contraire, ces pratiques peuvent solliciter excessivement les cellules et accélérer leur dégradation.
Il est préférable de maintenir le niveau de charge entre 20% et 80%. Cette plage d'utilisation optimale permet de réduire le stress imposé à la batterie et de prolonger sa durée de vie. N'hésitez donc pas à recharger votre véhicule dès que le niveau atteint 20-30%, sans attendre d'être presque à plat.

Pour préserver au mieux votre batterie, il est conseillé d'opter pour des recharges partielles régulières plutôt que d'attendre systématiquement d'atteindre un niveau bas avant de brancher votre véhicule.
Ces recharges fréquentes, même de courte durée, maintiennent la batterie dans sa plage de fonctionnement optimale et réduisent la profondeur des cycles de décharge. Que ce soit à domicile, au travail ou sur les bornes publiques, profitez de chaque occasion pour redonner un peu d'énergie à votre batterie sans forcément viser les 100% à chaque fois.
Pour une PME qui dispose d'une flotte de véhicules électriques, il peut être judicieux d'équiper le parking d'une infrastructure de recharge et d'encourager les collaborateurs à brancher leur véhicule dès leur arrivée le matin et à le récupérer avec 70-80% d'autonomie le soir. Ces recharges quotidiennes limitées préserveront mieux les batteries que le fait d'attendre une décharge profonde en fin de semaine pour effectuer une recharge complète le weekend. Les économies ainsi réalisées sur le long terme, en évitant un remplacement prématuré des batteries, compenseront rapidement l'investissement dans les bornes de recharge.
Si la recharge rapide est pratique pour regagner rapidement en autonomie lors de longs trajets, elle génère néanmoins plus de chaleur qu'une recharge classique en courant alternatif. Cette montée en température, si elle est trop fréquente, peut accélérer le vieillissement de la batterie.
Bien qu'il ne soit pas nécessaire de s'interdire totalement la charge rapide, il est d'en faire un usage raisonné. Privilégiez autant que possible les recharges normales à domicile ou au travail, et réservez la charge rapide aux situations où vous devez absolument récupérer rapidement de l'autonomie.
Par exemple, un artisan ayant adopté un véhicule électrique pour ses déplacements professionnels aura tout intérêt à privilégier la recharge normale sur son lieu d'activité, quitte à brancher plusieurs fois dans la journée en fonction de ses trajets. La recharge rapide pourra lui servir de dépannage occasionnel s'il doit réaliser une intervention urgente en fin de journée après un programme chargé, mais sans devenir une habitude quotidienne.
Comme le souligne un expert, il n'est pas nécessaire de s'interdire la recharge rapide pour préserver la batterie de sa voiture électrique, mais il est recommandé de ne pas s'en servir comme moyen de recharge principal.
Optez donc pour un juste équilibre, en utilisant principalement une recharge lente lorsque c'est possible, comme pendant la nuit à votre domicile ou sur votre lieu de travail la journée. La charge rapide doit rester une solution ponctuelle pour les longs trajets ou les imprévus, sans devenir une habitude quotidienne qui pourrait prématurément user votre batterie.
| Saison | Recommandation | Bénéfice |
|---|---|---|
| Été | Stationner à l'ombre ou dans un endroit tempéré | Protection contre la chaleur |
| Hiver | Stationner dans un garage ou un parking couvert | Protection contre le froid intense |
| Été et hiver | Préchauffer/climatiser l'habitacle pendant la recharge | Économie d'énergie au démarrage |
Les températures extrêmes, qu'elles soient très basses en hiver ou très élevées en été, peuvent impacter négativement la santé de votre batterie à long terme. Pour limiter ces effets néfastes, il est recommandé de stationner votre véhicule électrique dans un endroit tempéré, comme un garage, lorsque c'est possible.
Si vous n'avez pas de garage, pensez à garer votre voiture à l'ombre pendant les périodes de forte chaleur pour éviter une exposition directe et prolongée au soleil. Ces gestes simples permettent de protéger la batterie des conditions climatiques extrêmes et de ralentir son vieillissement.
Une grande entreprise soucieuse de réduire son empreinte carbone a fait le choix de convertir progressivement sa flotte de véhicules en modèles électriques. Pour préserver au mieux la durée de vie des batteries, elle a intégré dans sa stratégie immobilière la construction d'ombrières photovoltaïques sur ses parkings. Ainsi, les véhicules peuvent stationner à l'abri du soleil en été et bénéficier d'un environnement tempéré pour limiter la dégradation des cellules. L'entreprise optimise ainsi la longévité de sa flotte tout en produisant une partie de l'électricité nécessaire à la recharge.
Lorsque votre véhicule est branché pour une recharge, profitez-en pour préchauffer l'habitacle en hiver ou le climatiser en été avant de prendre la route. Cette astuce permet de moins solliciter la batterie au démarrage pour amener l'intérieur à une température confortable.
En effet, l'utilisation intense du chauffage ou de la climatisation peut réduire significativement l'autonomie en puisant dans l'énergie de la batterie. En préconditionnant l'habitacle pendant la charge, vous optimisez l'efficacité énergétique de votre véhicule tout en préservant la batterie d'une décharge trop rapide lors de vos trajets.
Imaginons un directeur commercial qui utilise son véhicule électrique pour se rendre chez ses clients. En programmant chaque matin la mise en température de l'habitacle pendant la recharge sur sa prise domestique, il bénéficiera d'un confort thermique optimal dès le départ sans solliciter excessivement la batterie et en économisant jusqu'à 10% d'autonomie pour sa journée de rendez-vous. Cette optimisation quotidienne, répétée sur l'ensemble de la durée de vie du véhicule, contribuera à prolonger la longévité de la batterie.

La plupart des véhicules électriques sont équipés d'outils de diagnostic embarqués qui permettent de suivre en temps réel l'état de santé de la batterie. Ces systèmes analysent en continu différents paramètres comme la tension, la température ou la capacité restante pour détecter d'éventuelles anomalies.
Pensez à consulter régulièrement ces informations via l'interface du véhicule ou l'application dédiée pour surveiller l'évolution de la batterie dans le temps. Gardez cependant à l'esprit que l'autonomie affichée peut être légèrement sous-évaluée ou surévaluée en fonction des derniers trajets effectués, sans forcément refléter une dégradation de la batterie.
Pour obtenir une mesure fiable et objective de l'état de santé de votre batterie, il est conseillé de faire réaliser périodiquement un diagnostic complet par un professionnel certifié. Cette expertise indépendante permet d'évaluer précisément la capacité restante et de détecter d'éventuelles pertes de performances.
Ce certificat de capacité est particulièrement utile si vous envisagez de revendre ou de louer votre véhicule électrique. Il atteste du bon état de la batterie et rassure les acheteurs ou locataires potentiels sur les performances et l'autonomie réelles du véhicule. N'hésitez donc pas à le demander régulièrement pour suivre l'évolution de votre batterie dans le temps.
Pour une PME qui souhaite constituer une flotte de véhicules électriques d'occasion, exiger un certificat de capacité de la part du vendeur pour chaque batterie est un réflexe incontournable. En cas de doute sur la fiabilité des données fournies, faire appel à un organisme indépendant pour réaliser une mesure objective est un investissement vite rentabilisé. Par exemple, l'entreprise DAF Technology a récemment acquis 5 utilitaires électriques d'occasion pour ses interventions en ville. Grâce aux certificats fournis et aux tests complémentaires, elle a pu écarter 2 véhicules dont les batteries présentaient une capacité réelle inférieure à 70%, et ainsi sécuriser la disponibilité de sa flotte sur le long terme malgré le choix de modèles de seconde main.
En résumé, pour préserver la durée de vie de la batterie de votre véhicule électrique, il est essentiel de comprendre les facteurs de dégradation et d'adopter les bonnes pratiques au quotidien. Privilégiez les recharges régulières entre 20% et 80% plutôt que les cycles complets, limitez l'exposition aux températures extrêmes et les charges rapides trop fréquentes. Pensez aussi à préchauffer l'habitacle lorsque vous êtes en charge et à suivre régulièrement l'état de santé de la batterie grâce aux outils de diagnostic et aux certificats de capacité.

La batterie d’un véhicule électrique est un ensemble de cellules lithium‑ion assemblées en modules. Sa « durée de vie » ne se mesure pas tant en kilomètres qu’en nombre de cycles complets de charge / décharge. Un cycle correspond à une recharge de 0 à 100 %; en pratique, les utilisateurs réalisent des demi‑cycles (par exemple de 30 % à 80 %), ce qui rallonge la durée de vie. La plupart des batteries lithium‑ion sont dimensionnées pour 1 000 à 2 000 cycles complets, soit une autonomie cumulée de 150 000 à 300 000 km avant que la capacité ne baisse de façon notable.
Les constructeurs garantissent généralement leurs batteries pendant 8 ans ou 160 000 km, avec une limite de capacité autour de 70 %. On considère qu’une batterie arrive en fin de première vie quand sa capacité résiduelle descend entre 70 % et 80 %, car son autonomie baisse et ses temps de charge s’allongent. Cela ne signifie pas qu’elle est inutilisable : elle peut entamer une seconde vie en stockage stationnaire.
Les études récentes sont rassurantes : la dégradation des batteries modernes est plus faible qu’on ne l’imaginait. Selon des analyses menées sur plus de 10 000 véhicules, la perte moyenne de capacité est d’environ 1,8 % par an, ce qui permet aux batteries de conserver 80 % de leur capacité après 15 à 20 ans d’usage normal. Des exemples concrets montrent même des durées plus longues : un conducteur sud‑coréen a parcouru 660 000 km en moins de quatre ans avec sa Hyundai Ioniq 5, et sa batterie a été remplacée sous garantie après 580 000 km avec encore 87 % de capacité. Au sein des flottes professionnelles, les mesures montrent que les batteries gardent environ 93 % de capacité après 70 000 km et encore 90 % à 200 000 km.
La taille de la batterie joue un rôle important : les petites batteries (20–40 kWh) effectuent davantage de cycles et atteignent leurs 175 000 km en environ 10 ans avant de tomber à 70 % de capacité, tandis que les grosses batteries (60–100 kWh) peuvent parcourir 350 000 km et tenir 20 ans avant d’atteindre le même seuil. Au‑delà, elles continuent de fonctionner mais ne répondent plus aux exigences d’autonomie d’une voiture.
| Indicateur | Valeur typique |
|---|---|
| Nombre de cycles complets | 1 000 – 2 000 cycles |
| Distance cumulée avant baisse sensible | 150 000 – 300 000 km |
| Durée de vie moyenne (VP) | 10 à 20 ans |
| Garantie constructeur | 8 ans ou 160 000 km (70 % de capacité) |
| Petite batterie (20–40 kWh) | ≈ 175 000 km / 10 ans (70 % de capacité) |
| Grosse batterie (60–100 kWh) | ≈ 350 000 km / 20 ans (70 % de capacité) |
| Perte de capacité moyenne | ≈ 1,8 % par an |
| Seuil de fin de première vie | 70 % – 80 % de capacité |
Plusieurs facteurs déterminent la rapidité avec laquelle une batterie vieillit. Voici les principaux :
Les gestionnaires de flotte et les conducteurs peuvent adopter des gestes simples pour préserver la santé de leurs batteries :
Le marché des batteries évolue à grande vitesse. Les principales tendances à surveiller :
Lorsque la capacité d’une batterie descend autour de 70 %, elle ne répond plus aux besoins d’autonomie d’un véhicule mais reste parfaitement utilisable. On parle alors de seconde vie : les batteries sont réemployées comme systèmes de stockage stationnaire pour des maisons, des installations solaires ou des réseaux électriques. Dans ce rôle, elles peuvent servir encore 7 à 10 ans.
En fin de seconde vie, elles partent au recyclage. L’Union européenne impose de recycler au moins 65 % du poids d’une batterie lithium‑ion dès 2025 et 70 % en 2030. Les procédés hydrométallurgiques permettent de récupérer 90 à 95 % des métaux précieux comme le cobalt, le nickel, le cuivre et le lithium, qui seront réinjectés dans les chaînes de production. Cette circularité réduit la dépendance aux matières premières vierges et diminue l’empreinte carbone.
Evera Fleet est une plateforme de gestion de flotte qui inclut un module d’autopartage et de suivi énergétique. Grâce à des capteurs télématiques et à une interface intuitive, vous pouvez :
De son côté, Evera Lease propose des contrats de leasing sur mesure incluant des véhicules électriques récents et performants, couverts par les garanties constructeurs. Nos offres intègrent :
En combinant Evera Fleet et Evera Lease, vous disposez d’un écosystème complet pour maîtriser la gestion énergétique de vos véhicules, réduire votre empreinte carbone et maximiser la valeur de vos actifs.
Les batteries des véhicules électriques ne sont plus des consommables fragiles : correctement dimensionnées et bien entretenues, elles peuvent durer entre 15 et 20 ans et parcourir plusieurs centaines de milliers de kilomètres. En respectant quelques bonnes pratiques (charges modérées, températures contrôlées, conduite douce), vous maximisez leur durabilité et réduisez votre coût total de possession. À l’issue de leur première vie automobile, ces batteries connaissent une seconde vie en stockage stationnaire avant d’être recyclées.
Pour tirer pleinement parti de cette révolution technologique, il est essentiel de s’équiper d’outils adaptés. Evera Fleet et Evera Lease vous aident à suivre l’état de vos batteries, à optimiser l’autopartage, à maîtriser vos dépenses et à intégrer les innovations à venir. Transformez la longévité des batteries en avantage stratégique pour votre entreprise : découvrez nos solutions, demandez un devis ou planifiez une démonstration dès aujourd’hui.

Les nouvelles réglementations écologiques offrent aux professionnels l'opportunité d'optimiser leur flotte de véhicules tout en réduisant leur empreinte carbone. Quels sont les critères du bonus écologique pour 2024 et comment en bénéficier ? Découvrez les spécificités pour les véhicules utilitaires légers, les solutions pour s'adapter aux zones à faibles émissions et les stratégies de renouvellement de flotte.
Les changements majeurs prévus pour le bonus écologique en 2024 visent à favoriser la production européenne et l'empreinte écologique des véhicules. Selon Bruno Lemaire, ancien Ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique de la France, le bonus sera calculé selon de nouveaux critères comme la quantité de CO2 émise lors de la fabrication de la batterie et des matériaux d'assemblage, les émissions de CO2 du mix électrique du pays de fabrication et la recyclabilité des composants.
Pour les professionnels souhaitant renouveler leur flotte avec des véhicules électriques, il est important d'anticiper ces évolutions et de choisir des modèles répondant à ces exigences environnementales renforcées. L'offre d'abonnement Evera, proposant un large choix de véhicules électriques à faible empreinte carbone, s'inscrit parfaitement dans cette démarche éco-responsable et permet aux entreprises de bénéficier d'une solution de mobilité durable et flexible.
Depuis le 1er janvier 2023, les véhicules utilitaires légers (VUL) électriques neufs bénéficient d'un bonus écologique plus avantageux. Pour les particuliers, le montant de l'aide peut atteindre jusqu'à 8 000 €, tandis que pour les professionnels, il est plafonné à 4 000 €. Cette mesure vise à encourager l'adoption de solutions de transport plus respectueuses de l'environnement, en particulier dans le secteur des livraisons et des services.
En optant pour un VUL électrique, les entreprises peuvent ainsi réduire significativement leur empreinte carbone et leurs coûts d'exploitation, tout en bénéficiant d'un soutien financier de l'État. L'offre d'abonnement Evera propose une large gamme de VUL électriques adaptés aux besoins spécifiques de chaque professionnel, avec un service tout compris et une flexibilité sans engagement.
Prenons l'exemple d'une PME spécialisée dans la livraison de colis en milieu urbain. En remplaçant progressivement sa flotte de VUL diesel par des modèles électriques, elle pourrait économiser jusqu'à 30% sur ses coûts de carburant et d'entretien, tout en réduisant son impact environnemental. Avec l'offre d'abonnement Evera, cette PME bénéficierait en plus d'une solution clé en main, incluant l'assurance, l'assistance et la maintenance des véhicules.
Plusieurs catégories de VUL électriques sont éligibles au bonus écologique majoré. Il s'agit notamment des camionnettes électriques neuves de catégories N1, qui répondent à des critères spécifiques en termes de poids et d'usage. Pour bénéficier de l'aide, les professionnels doivent choisir un modèle homologué et respectant les seuils d'émissions de CO2 fixés par la réglementation.
Evera accompagne les entreprises dans le choix du VUL électrique le plus adapté à leur activité, en proposant un système de recommandation basé sur des critères tels que l'autonomie, la capacité de charge utile et le budget disponible. Les équipes de Evera sont également disponibles pour aider les professionnels à constituer leur dossier de demande de bonus écologique et à optimiser leur budget de mobilité.
L'offre d'abonnement automobile proposée par Evera se distingue par sa flexibilité et sa simplicité. En souscrivant à ce service tout-en-un, les professionnels bénéficient d'un véhicule électrique, de l'assurance, de l'entretien et de l'assistance, le tout sans engagement de durée. Cette formule clé en main permet aux entreprises de se concentrer sur leur cœur de métier, en les libérant des contraintes administratives et de la gestion de leur flotte de véhicules.
La transparence et l'absence de surprises financières sont au cœur de l'offre Evera. Les tarifs sont clairs et les coûts mensuels parfaitement visibles, permettant aux professionnels de maîtriser leur budget de mobilité. De plus, la livraison rapide des véhicules en 72h offre une réactivité optimale pour répondre aux besoins urgents de déplacement.
Par exemple, une startup en pleine croissance pourrait avoir besoin de doubler rapidement sa flotte de véhicules pour accompagner son développement. Avec l'abonnement Evera, elle peut commander les véhicules supplémentaires en quelques clics et les recevoir en 72h, sans avoir à se soucier des formalités administratives ou de l'entretien des véhicules. Cette flexibilité est un atout précieux pour les entreprises évoluant dans un environnement dynamique.
Evera propose un large choix de véhicules électriques, sélectionnables en fonction des besoins réels des professionnels. Que ce soit pour des trajets urbains, des liaisons régionales ou des missions spécifiques, les entreprises peuvent trouver le modèle adapté à leur activité, sans apport initial. Cette diversité de l'offre permet une grande souplesse dans la constitution et l'évolution de la flotte.
Le service client personnalisé de Evera est un atout majeur pour les professionnels souhaitant opter pour l'électrique. Les équipes sont à l'écoute des besoins spécifiques de chaque entreprise et proposent un accompagnement sur-mesure tout au long de la transition vers une mobilité plus durable. Des témoignages de clients satisfaits, comme Amecasa, Praiz.io, Melo.io et Moofize, illustrent la qualité et la pertinence de l'offre Evera pour les professionnels.
Pour les entreprises souhaitant anticiper les évolutions réglementaires et renouveler leur flotte avec des véhicules propres, Evera propose un accompagnement personnalisé. Les équipes expertes aident les professionnels à choisir les modèles électriques les plus adaptés à leurs besoins, à constituer leur dossier de demande de bonus écologique et à optimiser leur budget de mobilité.
Cet accompagnement sur-mesure peut également inclure des formations et des sessions d'information sur les véhicules électriques, afin de permettre aux entreprises de mieux comprendre les enjeux de la mobilité durable et de maîtriser leur nouvelle flotte. En adoptant une démarche proactive et en se faisant accompagner par un partenaire de confiance comme Evera, les professionnels peuvent aborder sereinement les changements à venir et faire de leur transition vers l'électrique un levier de performance et d'image.
Prenons l'exemple d'un cabinet d'architectes souhaitant remplacer ses véhicules thermiques par des modèles électriques. En faisant appel à Evera, il bénéficierait d'un accompagnement personnalisé pour choisir les modèles les plus adaptés à ses besoins (autonomie, capacité de charge, confort), pour constituer son dossier de bonus écologique et pour former ses collaborateurs à l'utilisation et à la recharge des véhicules électriques. Cet accompagnement global permettrait au cabinet d'architectes d'aborder sa transition vers l'électrique en toute sérénité et d'en faire un atout pour son image de marque.
La Loi d'Orientation des Mobilités (LOM) fixe des objectifs ambitieux pour le verdissement des flottes professionnelles. Pour les entreprises de plus de 100 véhicules, 10% du renouvellement du parc devra se faire avec des véhicules propres dès 2022. Ce taux passera à 30% pour les collectivités territoriales, groupements et entreprises nationales à partir du 1er juillet 2021. À l'horizon 2030, l'ensemble des acteurs devront atteindre un taux de 50% de véhicules propres dans leur flotte.
Pour répondre à ces obligations légales et bénéficier des aides gouvernementales, il est important pour les entreprises d'anticiper le renouvellement de leur flotte et de mettre en place une stratégie de transition progressive vers l'électrique. En planifiant dès maintenant l'intégration de véhicules propres et en s'appuyant sur des solutions flexibles comme l'offre d'abonnement Evera, les professionnels peuvent étaler leur effort dans le temps et optimiser leur budget de mobilité.
Pour faciliter la transition vers l'électrique des professionnels, Evera noue des partenariats stratégiques avec des installateurs de bornes de recharge. L'objectif est de proposer des solutions clé en main, comprenant à la fois les véhicules électriques adaptés aux besoins de l'entreprise et l'infrastructure de recharge nécessaire à leur utilisation optimale.
Cette approche globale permet aux professionnels de gérer leur projet de mobilité de manière intégrée, en ayant un seul interlocuteur pour l'ensemble de leurs besoins. Les équipes de Evera et de ses partenaires apportent leur expertise pour dimensionner l'infrastructure de recharge en fonction de la flotte électrique choisie, et pour accompagner les entreprises dans l'installation et la maintenance de ces équipements. En optant pour une solution tout-en-un, les professionnels peuvent ainsi se concentrer sur leur cœur de métier tout en réduisant leur empreinte carbone.
En conclusion, les nouvelles réglementations écologiques offrent une opportunité unique aux professionnels d'optimiser leur flotte avec des véhicules électriques. Grâce à l'évolution du bonus écologique, aux spécificités des VUL et à l'adaptation aux zones à faibles émissions, les entreprises peuvent réduire leur empreinte carbone tout en bénéficiant d'aides financières.
En anticipant les changements prévus pour 2024 et en mettant en place des stratégies de renouvellement progressif, les professionnels peuvent aborder sereinement leur transition vers une mobilité plus durable. L'offre d'abonnement flexible et tout compris de Evera s'inscrit parfaitement dans cette démarche, en proposant un large choix de véhicules électriques adaptés aux besoins de chaque entreprise, ainsi qu'un accompagnement personnalisé.

La transition écologique n'est plus une option pour les entreprises. En 2025, la mobilité douce s'impose comme une solution incontournable pour réduire l'empreinte carbone de votre activité professionnelle et respecter la LOM (Loi d'Orientation des Mobilités). Face aux enjeux environnementaux et aux nouvelles réglementations, voici les solutions concrètes qui s'offrent à vous.
L’abonnement flexible, LLD ou les formules de leasing permettent d'accéder à une voiture électrique pour des déplacements plus longs, tout en réduisant les coûts et l'empreinte carbone. Ce modèle est populaire pour les entreprises :
Le vélo électrique professionnel répond parfaitement aux besoins des entreprises urbaines avec une constate augmentation de 45% des demandes en 2025. Le VAE s'impose comme la star de la mobilité urbaine. Ce moyen de transport intelligent permet de :
Idéaux pour les services de livraison professionnelle rapide, les scooters électriques permettent de réduire les coûts opérationnels de 30% en moyenne.
Solution parfaite pour le dernier kilomètre, le vélo cargo électrique révolutionne la logistique urbaine pour les professionnels :
Pour les campus d'entreprise ou les zones d'activité étendues, la trottinette électrique devient un outil de mobilité prisé. Compacte et agile, la trottinette électrique séduit par :
L'État encourage fortement l'adoption de la mobilité douce en entreprise. Les aides peuvent atteindre jusqu'à 40% du montant du leasing selon les régions. L'acquisition de ces véhicules peut représenter un investissement conséquent. Le Meilleur Leasing propose des solutions adaptées pour accéder à ces modes de transport sans contrainte financière. Leurs formules permettent d'éviter un achat important tout en profitant des dernières innovations en matière de mobilité douce.
Sur le plan environnemental, elle joue un rôle crucial dans la lutte contre le changement climatique. En optant pour ces modes de transport, vous réduisez significativement les émissions de CO2 de votre entreprise. Vous diminuez de la pollution sonore, tandis que la qualité de l'air s'améliore considérablement dans les zones urbaines.
Les bénéfices pour la santé sont tout aussi remarquables. La pratique régulière d'une activité physique en vélo, même modérée, renforce notre condition physique au quotidien. Les utilisateurs constatent une réduction notable de leur niveau de stress, notamment en évitant les embouteillages. Cette amélioration du cadre de vie contribue directement à une meilleure qualité de vie globale.
La mobilité douce permet de réaliser des économies substantielles sur les coûts de transport quotidiens. Les véhicules électriques nécessitent moins d'entretien que leurs homologues thermiques, ce qui réduit les frais de maintenance. Sans oublier les économies significatives réalisées sur le carburant, un avantage particulièrement appréciable avec la hausse des prix de l'énergie.

La loi d’orientation des mobilités impose aux parkings de plus de 20 places d’installer au moins une borne de recharge dès 2025. Dans le même temps, les quotas de véhicules à faibles émissions augmentent chaque année. Installer des bornes n’est plus un luxe, c’est une nécessité pour accompagner votre flotte et répondre à vos engagements RSE. Heureusement, des dispositifs peuvent couvrir jusqu’à 60 % de votre investissement et optimiser votre fiscalité.
Advenir est le principal programme national de financement des bornes. Il s’adresse aux professionnels de l’automobile (garages, concessions) et aux loueurs courte durée. Selon la puissance de la borne et le lieu d’installation, il finance de 25 % à 50 % du coût avec des plafonds allant de 750 € à 7 500 € par point. Les entreprises classiques ne sont plus éligibles et doivent se tourner vers les aides régionales.
| Type d’entreprise | Puissance | Part financée | Plafond |
|---|---|---|---|
| Garage / concession (parking public) | 3,7 – 11 kW AC | 50 % | 1 700 € |
| Garage / concession (parking public) | 12 – 43 kW AC | 50 % | 2 200 € |
| Garage / concession (parking public) | 20 – 40 kW DC | 50 % | 4 500 € |
| Garage / concession (parking public) | > 40 kW DC | 50 % | 7 500 € |
| Garage (parking privé) | – | 25 % | 750 € |
| Loueur courte durée | 3,7 – 11 kW AC | 35 % | 1 200 € |
| Loueur courte durée | 12 – 43 kW AC | 35 % | 1 600 € |
| Loueur courte durée | 20 – 40 kW DC | 35 % | 3 200 € |
| Loueur courte durée | > 40 kW DC | 35 % | 5 300 € |
Les régions proposent des aides complémentaires aux entreprises qui installent des bornes ouvertes au public. Par exemple :
Renseignez‑vous également auprès de votre métropole ou communauté de communes : certaines proposent des appels à projets pour soutenir la mobilité électrique.
L’investissement dans une borne peut être optimisé : la TVA sur l’achat et la pose est récupérable, et la borne est amortissable sur 5 à 10 ans. Les véhicules électriques alimentés par ces bornes sont exonérés de TVS. Si vous mettez une borne à disposition de vos collaborateurs sur le lieu de travail, aucun avantage en nature n’est dû jusqu’en 2027. Pour une borne installée au domicile d’un salarié, l’entreprise peut financer une partie importante de l’installation sans générer d’avantage en nature.
La LOM impose une borne pour tout parking de plus de 20 places à partir de 2025. Les entreprises doivent respecter les normes techniques (connecteur de type T2, système de supervision, signalisation) et faire appel à un installateur certifié IRVE. Si votre parking est ouvert au public, pensez à l’accessibilité PMR.
Installer des bornes de recharge est un investissement stratégique pour maîtriser le coût total de possession de votre flotte et renforcer votre démarche RSE. En combinant les aides nationales et régionales, la récupération de la TVA et l’exonération de la TVS, vous réduisez considérablement la facture finale. Faites-vous accompagner par des spécialistes comme Evera pour dimensionner vos projets et maximiser les subventions.

Pour les entreprises la neutralité carbone d'ici 2030 représente bien plus qu'un simple objectif environnemental. C'est une nécessité absolue face à l'urgence climatique. Pour atteindre cet objectif ambitieux, les entreprises doivent engager une transformation profonde de leurs activités, guidée par une stratégie précise et des actions concrètes.
La première étape cruciale consiste à réaliser un bilan carbone exhaustif. Cette évaluation permet d'identifier précisément les sources d'émissions : production, chaîne d'approvisionnement, déplacements professionnels, consommation énergétique des bâtiments... Cette cartographie détaillée révèle souvent que les émissions indirectes (scope 3) représentent jusqu'à 80% de l'empreinte carbone totale d'une entreprise.
La mobilité constitue un levier d'action majeur. Les déplacements professionnels génèrent en moyenne 30% des émissions d'une entreprise. Face à ce constat, de nouvelles solutions émergent.
Evera propose par exemple une approche innovante basée sur l'économie de l'usage : des voitures électriques pour les professionnels avec un abonnement flexible, permettant aux entreprises de réduire drastiquement leur empreinte carbone tout en améliorant le bien-être de leurs collaborateurs. Les émissions liées aux déplacements peuvent être réduites jusqu'à 80% grâce aux véhicules électriques. Cette solution de mobilité plus douce s'inscrit parfaitement dans une stratégie durable, associant bénéfices environnementaux et praticité au quotidien.
Le financement représente souvent un frein majeur dans la transition écologique des entreprises. Les investissements nécessaires peuvent être conséquents : rénovation énergétique, modernisation des équipements, adoption de bornes électriques pour sa flotte électrique... Pour surmonter cet obstacle, des acteurs spécialisés comme Le Meilleur Leasing développent des solutions de financement adaptées.
L'approche en leasing présente plusieurs avantages : elle préserve la trésorerie, offre une grande flexibilité et permet d'accéder aux dernières innovations technologiques ou équipements sans investissement massif initial.
La réussite de cette transition repose également sur l'engagement des collaborateurs. Les entreprises doivent mettre en place des programmes de formation approfondie, sensibilisant aux enjeux climatiques et aux bonnes pratiques. L'expérience montre qu'une équipe bien formée peut réduire de 15 à 20% les émissions liées à son activité quotidienne.
Pour les émissions incompressibles, la compensation carbone constitue un complément nécessaire. Il est important de sélectionner des projets certifiés, en générant des bénéfices environnementaux et sociaux mesurables. Les entreprises peuvent par exemple investir dans des programmes de reforestation locale ou des projets d'énergies renouvelables dans les pays en développement.
L'atteinte des objectifs 2030 demande une transformation systémique. Les solutions existent, qu'elles soient technologiques, financières ou organisationnelles. Les entreprises qui s'engagent dès maintenant dans cette transition ne font pas que répondre à une obligation environnementale : elles construisent un avantage compétitif durable et renforcent leur résilience face aux défis futurs.

L'installation de bornes de recharge électrique en entreprise représente un investissement important. Cependant, il existe plusieurs leviers permettant de réduire significativement le coût de ce projet stratégique. Découvrez dans cet article les meilleures pratiques pour optimiser votre budget et accélérer le déploiement de votre infrastructure de recharge.
Le programme ADVENIR, financé par les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), propose des subventions allant jusqu'à 60% du coût d'installation des bornes de recharge en entreprise. Pour en bénéficier, il faut remplir certaines conditions d'éligibilité comme être une entreprise immatriculée en France et s'engager à maintenir les bornes en service pendant au moins 5 ans.
Grâce à cette aide substantielle, les entreprises peuvent significativement réduire leur budget alloué à l'infrastructure de recharge et ainsi accélérer leur transition vers l'électromobilité. Le montant de la prime varie en fonction de la puissance et du type de borne, permettant ainsi de s'adapter aux besoins spécifiques de chaque structure.
En complément du programme national ADVENIR, de nombreuses régions, départements et communes proposent des subventions locales sous forme d’avantages fiscaux pour encourager l'installation de bornes de recharge sur leur territoire. Ces aides s'adressent généralement aux entreprises, mais aussi aux copropriétés et aux particuliers.
Il est donc judicieux de se renseigner auprès des collectivités locales pour connaître les dispositifs existants et les démarches à suivre pour en bénéficier. Certaines proposent des primes à l'achat, d'autres des subventions sur les coûts d'installation ou encore des tarifs préférentiels sur la fourniture d'électricité. En cumulant ces différentes aides, les entreprises peuvent optimiser leur budget dédié aux bornes de recharge.
Un loyer mensuel pour étaler la dépense
La location longue durée (LLD), location avec option d'achat (LOA) ou l’abonnement de bornes de recharge permet aux entreprises d'étaler l'investissement sur une période de 3 à 5 ans, via un loyer mensuel. Cette solution offre une alternative intéressante à l'achat, notamment pour les structures ne pouvant pas mobiliser un budget conséquent en une seule fois.
Le montant du loyer dépend de plusieurs paramètres tels que le modèle de borne, la puissance, les services associés (maintenance, supervision) et la durée du contrat. Il est généralement compris entre 50 et 150 € HT par mois et par point de charge. En optant pour la LLD, les entreprises peuvent ainsi maîtriser leur budget et bénéficier d'une solution clé en main.
La plupart des contrats de location longue durée de bornes de recharge intègrent une option d'achat au terme de la période contractuelle. Cela permet aux entreprises de devenir propriétaires des équipements après les avoir "testés" pendant plusieurs années, sans engager de frais supplémentaires.
Cette formule s'avère particulièrement pertinente pour les structures souhaitant installer des bornes de recharge sans visibilité à long terme sur leurs besoins. Elles peuvent ainsi adapter leur infrastructure au fur et à mesure, en fonction de l'évolution de leur flotte de véhicules électriques et des usages de leurs collaborateurs. L'option d'achat offre donc une flexibilité appréciable.
| Avantage | Description |
|---|---|
| Étalement des coûts | Pas d'investissement initial important, loyer mensuel fixe sur 3 à 5 ans |
| Maîtrise du budget/td> | Coût total transparent et adapté à la trésorerie de l'entreprise |
| Solution clé en main | Contrat incluant l'installation, la maintenance et des services associés |
| Flexibilité/td> | Possibilité d'ajuster le nombre de points de charge selon les besoins |
| Économies | Des loyers déductibles des charges et une TVA récupérable |
Installer une borne de recharge au domicile d'un salarié coûte entre 1500 € et 2000 € HT, contre un budget moyen de 1300 € à 9000 € pour une infrastructure en entreprise. Cette différence notable s'explique par plusieurs facteurs tels que les travaux de génie civil, la configuration des locaux ou encore la puissance de raccordement nécessaire.
Ainsi, en déployant des points de charge directement chez les collaborateurs utilisant quotidiennement leur véhicule de fonction, les entreprises peuvent réduire significativement le coût global de leur projet. Cette solution s'avère particulièrement pertinente pour les TPE/PME disposant d'une flotte réduite et dont les salariés ont la possibilité de se recharger à domicile. Cette solution permet aussi aux TPE/PME de bénéficier des avantages de la voiture électriques à moindre coût.
Une alternative ciblée selon les profils
L'installation de bornes au domicile des collaborateurs ne peut évidemment pas s'appliquer à tous les profils. Elle concerne prioritairement les commerciaux ou techniciens itinérants, disposant d'un véhicule de fonction et réalisant de nombreux déplacements quotidiens.
Avant de déployer cette solution, il convient donc d'étudier précisément les besoins et contraintes de chaque collaborateur : distance domicile/travail, fréquence des trajets, possibilité de stationnement... Une étude au cas par cas permettra d'identifier les salariés éligibles et de proposer un dispositif adapté, en complément des bornes installées sur site.
Installer une borne de recharge au domicile d'un collaborateur coûte entre 1500 € et 2000 € HT, une option plus économique que l'installation en entreprise.
| Modèle | Principe | Avantages | Inconvénients |
|---|---|---|---|
| Forfait | Accès illimité pour un montant fixe mensuel ou annuel | Simplicité, visibilité sur les coûts, adapté aux flottes captives | Manque de flexibilité, rentabilité variable selon l'usage réel |
| Durée/td> | Facturation à la minute ou à l'heure de charge | Adapté aux visiteurs occasionnels, favorise la rotation des véhicules | Nécessite un suivi précis des sessions, moins incitatif pour les longues charges |
| Consommation | Paiement au kWh d'énergie consommée | Refacturation au plus juste de l'électricité, équitable pour les utilisateurs | Complexité de calcul, exposition aux variations du prix de l'énergie |
Pour rentabiliser plus rapidement l'investissement dans les bornes de recharge, les entreprises ont la possibilité de facturer à leurs collaborateurs ou visiteurs les sessions réalisées. Trois principaux modèles existent : au forfait, à la durée ou à la consommation (kWh).
Le choix du mode de facturation dépend notamment du type de borne (accélérée, rapide...), du nombre d'utilisateurs et de la politique de mobilité de l'entreprise. Le paiement au forfait (exemple : 20 €/mois pour un accès illimité) est souvent privilégié pour les flottes captives, tandis que la facturation à la durée ou au kWh s'avère plus adaptée pour le public ou les visiteurs occasionnels.
La mise en place d'un système de facturation nécessite de s'équiper d'un outil de supervision permettant de suivre en temps réel l'utilisation des bornes. Ce logiciel, généralement proposé par les fabricants ou les opérateurs de recharge, centralise l'ensemble des données liées aux sessions : horaires, durée, énergie consommée, utilisateurs...
Il permet ainsi de facturer automatiquement chaque charge en fonction du modèle choisi et d'éditer des rapports détaillés. En plus d'optimiser la rentabilité des bornes, un tel outil offre une meilleure visibilité sur les usages et constitue un levier pour piloter efficacement sa flotte de véhicules électriques. Son coût, entre 5 et 10 €/mois par point de charge, est rapidement amorti.
Au-delà de la réduction des coûts, l'installation de bornes de recharge en entreprise peut représenter une source de revenus additionnels. C'est notamment le cas pour les commerces, hôtels ou restaurants qui ont la possibilité de valoriser ce service auprès de leur clientèle.
En proposant une prestation de recharge payante, ces établissements attirent une nouvelle cible de clients utilisateurs de véhicules électriques. Ils se démarquent aussi de leurs concurrents en affichant une image innovante et éco-responsable. Sur les axes routiers très fréquentés, la présence de bornes constitue un atout pour capter des flux de visiteurs supplémentaires.
L'installation de bornes de recharge peut également représenter une source de revenus additionnels, en particulier pour les entreprises du secteur des services comme les hôtels ou les restaurants. En proposant un service de recharge, vous pouvez attirer une clientèle éco-responsable et vous démarquer de la concurrence. En explorant les solutions de mobilité durable pour votre entreprise, consultez notre article sur les solutions de mobilité durable pour les PME.
Si vous envisagez d'acquérir un véhicule électrique pour votre entreprise, découvrez l'option d'abonnement tout inclus, sans apport, qui comprend assurance, entretien, assistance 24h/24 et un véhicule de remplacement. Cela peut simplifier la gestion de votre flotte tout en offrant une flexibilité maximale. Pour en savoir plus, explorez notre offre sur votre véhicule électrique par abonnement.
Au-delà de l'aspect purement économique, installer des bornes de recharge en entreprise revient à promouvoir activement l'éco-mobilité auprès de ses clients et partenaires. C'est l'occasion de les sensibiliser aux enjeux environnementaux et d'encourager des pratiques plus vertueuses.
En communiquant positivement sur la disponibilité de ce service, l'entreprise valorise son engagement RSE et renforce son capital sympathie. Elle incite indirectement ses parties prenantes à opter pour des véhicules électriques, contribuant ainsi à la diminution des émissions de CO2 liées aux déplacements professionnels. Un cercle vertueux qui profite à tous !
En conclusion, réduire le coût d'installation de bornes électriques en entreprise est possible grâce à une combinaison de leviers financiers et organisationnels. Profiter des aides disponibles, opter pour la location, déployer des points de charge au domicile des collaborateurs, mettre en place un modèle de facturation adapté et valoriser le service auprès des clients sont autant de solutions pour optimiser son budget. Une démarche essentielle pour accélérer la transition vers une mobilité plus durable dans le monde professionnel.


L'installation de bornes de recharge en entreprise est un investissement stratégique pour accompagner la transition vers la mobilité électrique. Mais quel budget faut-il prévoir pour un tel projet ? Cet article vous propose un tour d'horizon des différents critères qui influencent le coût d'une infrastructure de charge, ainsi que des astuces pour optimiser votre investissement.
La puissance de la borne est l'un des principaux critères influençant son prix. Une borne de 7,4 kW sera moins onéreuse qu'une borne de 120 kW. Le nombre de connecteurs (1 ou 2) fait également varier le coût : plus il y a de points de charge, plus le prix sera élevé.
Les fonctionnalités proposées, comme la connectivité et l'intelligence embarquée, ont aussi un impact. Une borne "intelligente", pilotable à distance, sera plus coûteuse qu'un modèle basique, mais offrira davantage de services et de confort d'utilisation.
Le Saviez-vous ?
Une borne AC 7 kW coûte entre 1 200 € et 2 500 €, une AC 22 kW entre 2 500 € et 5 000 €, et une DC 50 kW entre 20 000 € et 40 000 € ?
Avant d'installer des bornes, il est important de s'assurer de la conformité de votre installation électrique. Si des travaux de mise aux normes sont nécessaires, ils viendront s'ajouter au budget initial. La configuration de votre site joue aussi un rôle : la distance entre les bornes et le compteur électrique, ainsi que le type de fixation (murale ou au sol) influent sur les coûts de génie civil et de câblage.
Plus le nombre de points de charge à installer est important, plus vous pourrez réaliser des économies d'échelle. D'où l'intérêt de mutualiser les coûts en installant plusieurs bornes simultanément. Pensez aussi à confier les travaux à un électricien certifié IRVE pour garantir leur qualité et leur sécurité.
Prenons l'exemple d'une PME souhaitant installer 4 bornes de 22 kW sur son parking. En les installant en une seule fois plutôt qu'au coup par coup, elle pourra réduire les frais de 20% à 40% en moyenne. De plus, faire appel à un professionnel agréé lui assurera une installation aux normes et pérenne.
| Type de borne | Puissance | Prix HT | Usage |
|---|---|---|---|
| AC | 3-7 kW | 1 000 - 2 000 € | Recharge lente, 6-8h |
| AC | 7-22 kW | 2 000 - 5 000 € | Recharge accélérée, 1-3h |
| DC | 50-180 kW | 20 000 - 45 000 € | Recharge rapide, 20-30 min |
Pour la majorité des PME, une borne AC de 22 kW avec deux points de charge est la solution la plus pertinente. Comptez entre 3 300 € et 4 000 € HT pour ce type d'équipement. Ces bornes "accélérées" permettent de recharger deux véhicules simultanément en 1 à 2 heures, un rythme idéal pour assurer une bonne rotation des véhicules sur la journée.
Si vos besoins sont plus limités, vous pouvez aussi opter pour des bornes AC de 7 à 11 kW, facturées entre 1 200 € et 2 500 € pièce. Ce modèle est adapté pour recharger les véhicules la nuit ou sur une longue pause. Une autre option économique consiste à financer l'installation de bornes directement au domicile de vos collaborateurs, pour un coût moyen de 1 500 à 2 000 €.
Pour une TPE de 5 salariés dont 2 véhicules électriques de société, installer une borne AC 7 kW au bureau et financer une borne à domicile pour chaque conducteur serait une solution efficace et abordable. Avec un budget de 5 000 € (une borne 7 kW à 2 000 € + 2 bornes à domicile à 1 500 €), l'entreprise peut offrir un service complet.
Les bornes DC rapides, d'une puissance de 50 à 180 kW, permettent de recharger un véhicule en 20 à 30 minutes. Mais leur coût élevé, de 20 000 € à 45 000 € par borne, les réserve à des usages intensifs comme les aires d'autoroute ou les stations-service.
Pour une PME, investir dans ce type de borne n'est rentable que si vous avez des besoins très spécifiques nécessitant des recharges rapides. Dans la plupart des cas, des solutions de 7 à 22 kW, bien moins onéreuses, répondront parfaitement aux besoins de recharge quotidiens de quelques véhicules d'entreprise.
Lors de l'installation de votre infrastructure de recharge, vous pouvez bénéficier d'un soutien financier grâce au programme ADVENIR. Cette prime, valable jusqu'à fin 2025, couvre 30% du coût d'achat et de pose d'une borne, dans la limite de 1 000 € HT pour une borne AC et 2 700 € HT pour une borne DC.
Pour une borne AC 22 kW à 4 000 €, cela représente une aide de 1 000 € qui vient réduire son coût final à 3 000 €. Une subvention non négligeable pour optimiser le budget de votre projet ! D'autres aides régionales ou locales peuvent aussi être mobilisées en fonction de votre territoire.
Pour maximiser l'impact des aides financières sur votre projet, il est indispensable de bien vous renseigner en amont sur les différents dispositifs existants. Certaines subventions sont cumulables, d'autres non. En choisissant les bornes éligibles aux primes les plus avantageuses, vous pouvez réduire le coût d'achat jusqu'à 30%.
Pensez aussi à intégrer le montant des subventions lorsque vous comparez les devis des installateurs. Un prestataire qui propose un accompagnement sur-mesure incluant une optimisation des aides vous permettra de réduire significativement la facture, et ainsi de dégager des marges de manoeuvre pour installer davantage de points de recharge ou des modèles plus performants.
Imaginons une entreprise souhaitant équiper son parking de 10 bornes AC 22 kW, pour un budget initial de 40 000 €. En combinant la prime ADVENIR (10 000 €) et une aide régionale (5 000 €), elle pourra réduire son investissement à 25 000 €, soit une économie de 37,5% ! De quoi revoir ses ambitions à la hausse.
Une façon astucieuse de rentabiliser vos bornes de recharge est de les ouvrir à vos clients et visiteurs. Vous pouvez alors leur facturer la recharge selon différents modèles : au forfait (prix fixe par recharge), au temps passé (tarif horaire ou à la minute) ou à la quantité d'énergie délivrée (prix au kWh).
Le choix du modèle tarifaire dépendra de votre stratégie : voulez-vous faire de la recharge un service gratuit ou une source de revenu ? Souhaitez-vous favoriser des recharges courtes ou longues ? Une étude vous permettra de déterminer le meilleur compromis entre rentabilité et satisfaction des utilisateurs.
Pour un hôtel souhaitant offrir la recharge à ses clients, un forfait "nuitée + recharge" semble pertinent : le client paie un supplément fixe lui donnant droit à une session de charge. Pour un centre commercial voulant favoriser la rotation, une facturation à la minute avec les 2 premières heures gratuites serait judicieuse.
Si votre objectif est d'assurer une bonne rotation des véhicules sur vos points de charge, misez sur une facturation incitative. Par exemple, vous pouvez proposer les 2 premières heures à un tarif attractif, puis augmenter progressivement le prix. Les utilisateurs seront ainsi encouragés à libérer la place une fois leur véhicule rechargé.
Autre option : la gratuité conditionnelle. La recharge est offerte pour les clients qui consomment dans votre établissement ou les visiteurs qui restent moins de 2 heures. Au-delà, un tarif dissuasif s'applique. Cette approche permet de rentabiliser indirectement vos bornes en attirant une nouvelle clientèle ou en augmentant le panier moyen de vos acheteurs.
C'est le choix fait par de nombreux supermarchés qui installent des bornes sur leur parking. La recharge est gratuite le temps des courses, puis devient payante pour inciter les véhicules à partir une fois rechargés. Un service apprécié des clients qui profite aussi au magasin !
Comme le souligne les experts, la location longue durée (LLD) de bornes est une solution particulièrement adaptée aux entreprises souhaitant préserver leur trésorerie.
Plutôt que d'investir dans l'achat de bornes, vous louez les équipements pour une durée de 3 à 5 ans moyennant un loyer mensuel. À partir de 20 € par mois, vous pouvez ainsi disposer d'une borne sans avance de frais. La maintenance et l'assistance sont généralement incluses, et vous gardez la possibilité de faire évoluer votre contrat.
Prenons l'exemple d'une startup en pleine croissance. Plutôt que d'immobiliser 10 000 € dans l'achat de 3 bornes, elle opte pour une location sur 5 ans à 70 €/mois/borne. Pour un budget de 210 €/mois (soit 12 600 € sur 5 ans), elle s'équipe sans grever sa trésorerie, tout en gardant de la flexibilité pour le futur.
Installer des bornes sur votre parking d'entreprise n'est pas la seule façon de favoriser la mobilité électrique de vos collaborateurs. Vous pouvez aussi financer la pose d'un point de charge à leur domicile, à un coût maîtrisé de 1 500 à 2 000 € par borne selon les données d'experts.
Cette approche présente plusieurs avantages : un investissement réduit par rapport à une infrastructure sur site, une réelle valeur ajoutée pour vos salariés, et une solution pratique pour recharger les véhicules de société pendant la nuit. Combiner installation au bureau et au domicile peut être un bon compromis pour offrir un service complet à un coût optimisé.
En conclusion, le coût d'installation de bornes de recharge en entreprise dépend de nombreux paramètres comme la puissance, le nombre de points de charge, les fonctionnalités ou encore la configuration du site. Pour la majorité des PME, des bornes AC de 7 à 22 kW, avec un budget de 1 200 € à 5 000 € par borne, répondront efficacement aux besoins.
En optimisant son investissement grâce aux aides financières comme la prime ADVENIR et en étudiant des solutions comme la location longue durée ou l'installation au domicile des salariés, il est possible de mettre en place une infrastructure de charge à un coût maîtrisé. Bien dimensionner son projet en anticipant les besoins futurs permettra de rentabiliser sur le long terme cet investissement stratégique pour la mobilité électrique de l'entreprise.
Et au-delà du budget, quels sont selon vous les autres points de vigilance pour réussir l'installation de bornes en entreprise ?





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Evera Lease est en moyenne 20 % moins onéreux. Nous proposons des contrats flexibles, des véhicules neufs ou reconditionnés, des délais de livraison rapides (entre 72h et 3 semaines), un accompagnement dédié pour la prise en main des véhicules électriques, et l’accès à Evera Fleet, notre plateforme SaaS de gestion de flotte.
Votre véhicule peut être livré chez vous ou au bureau sous 30 jours. Vous pouvez également choisir de récupérer gratuitement votre véhicule dans l'une des stations Evera.
La livraison rapide et flexible fait partie des avantages majeurs de Evera.






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