Vous souhaitez un devis LLD ?
Faire un devis
Essais et comparatifs

Top 15 des véhicules électriques les plus attendus en 2026 pour les entreprises

30/11/2025

2026, l’année pivot pour l’électrification des flottes

2026 s’annonce comme l’une des années les plus importantes pour la mobilité électrique professionnelle. Plusieurs éléments convergent :

  • accélération réglementaire (LOM, LEZ, normes CAFE),
  • durcissement des politiques ESG,
  • maturité technologique des plateformes électriques,
  • baisse progressive du coût des batteries,
  • arrivée massive de nouvelles offres adaptées aux flottes B2B.

Les constructeurs européens, coréens et chinois préparent une vague de lancements majeurs pour 2026-2027, couvrant tous les segments : citadines low-cost, compactes polyvalentes, SUV électriques, berlines routières et modèles premium.

Pour les entreprises, ces nouveautés représentent une opportunité d’optimiser leur TCO, d’améliorer les AEN, et de préparer une stratégie multi-énergies cohérente grâce notamment à Evera Fleet.

Cet article présente les 15 modèles 100 % électriques les plus attendus en 2026.

Citadines électriques 2026 : l’arme ZFE des flottes urbaines

Les citadines électriques sont le premier levier pour électrifier des flottes urbaines à coûts maîtrisés, notamment pour les usages du « dernier kilomètre », les visites en centre‑ville ou les petits déplacements quotidiens. En 2026, plusieurs modèles abordables arrivent sur le marché, avec des prix ciblés sous les 25 000 €.​

Renault Twingo E‑Tech (annonce 06/11/2025, commercialisation courant 2026)

La nouvelle Twingo électrique est annoncée comme une citadine très accessible, pensée pour le marché européen avec une forte vocation urbaine. Sa taille compacte, son rayon de braquage et son positionnement prix la destinent clairement aux flottes urbaines et parcs mutualisés opérant en ZFE.

Dacia Spring II / Evader (fin 2026)

La prochaine Spring, parfois évoquée sous le nom Evader, arriverait en fin 2026, étroitement dérivée de la nouvelle Twingo électrique. Dacia vise un prix sous les 18 000 € et une production européenne pour maximiser l’accès aux aides à l’achat, ce qui en fait une arme de volume pour l’électrification massive de petites flottes.​

Volkswagen ID.Polo (présentation printemps 2026, livraisons rentrée 2026)

La nouvelle ID.Polo, équivalent électrique de la Polo, doit être dévoilée au printemps 2026 avec des livraisons attendues à la rentrée. Le modèle vise des autonomies d’environ 300 à 450 km et un prix de base autour de 25 000 €, ce qui en fait une candidate sérieuse pour les flottes voulant basculer leurs citadines thermiques.

Compactes électriques : le nouveau cœur de flotte

Les compactes électriques vont devenir le segment pivot des flottes mixtes ville/route, avec un meilleur équilibre entre autonomie, confort et coût de détention. Elles sont appelées à remplacer progressivement les compactes thermiques dans les car policies.​

Hyundai Ioniq 3 (courant 2026)

Inspirée du concept THREE, la Ioniq 3 adoptera une silhouette de compacte fastback, reposant sur la base E‑GMP. Les batteries attendues (proches de celles de la Kia EV4) devraient permettre une autonomie dépassant les 600 km, intéressante pour les commerciaux grands territoires.

Peugeot e‑208 III (Mondial de Paris octobre 2026)

La nouvelle génération de 208 100% électrique est pressentie pour un reveal au Mondial de l’Automobile d’octobre 2026, avec une autonomie pouvant s’approcher des 500 km. Elle reposera sur la base STLA Small et inaugurera un nouvel i‑Cockpit, ce qui en fait une option moderne et polyvalente pour les flottes urbaines et périurbaines.

Audi A2 e‑tron (fin 2026)

L’Audi A2 e‑tron, compacte électrique annoncée pour fin 2026, viendra compléter l’offre du groupe sous les Q4 et ID.3. Avec une autonomie estimée autour de 400 km et un positionnement plus premium, elle parlera aux flottes haut de gamme qui veulent rester sur des formats compacts.

Kia EV4 (courant 2026)

La Kia EV4, berline électrique à grande autonomie, est annoncée avec environ 625 km WLTP dans les premiers éléments communiqués. Elle se positionne comme une solution très compétitive pour les commerciaux grands rouleurs en quête d’un TCO maîtrisé et d’une image moderne.

SUV électriques : image, sécurité et polyvalence

Les SUV restent très demandés pour la position de conduite haute, le sentiment de sécurité et la capacité familiale. En 2026, plusieurs SUV électriques ciblent directement les parcs premium et les véhicules de fonction.​

DS N°7 électrique (présentation début 2026)

Sur base STLA Medium, le DS N°7 remplacera le DS 7 et proposera une version 100% électrique avec une grosse batterie autour de 97 kWh pour une autonomie proche de 750 km. Sa silhouette de SUV statutaire et son positionnement haut de gamme en font un modèle privilégié pour les directions et top managers.​

Skoda Epiq (lancement 2026)

Le Skoda Epiq, SUV urbain d’environ 4,10 m, doit concrétiser l’offensive citadine électrique du groupe Volkswagen en 2026. Il misera sur une excellente habitabilité, un coffre généreux (annoncé à 475 L) et des prix placés, ce qui en fait un outil intéressant pour les flottes cherchant du volume en SUV compact.

Volvo EX60 (présentation 21/01/2026, arrivée fin 1er semestre 2026)

Le Volvo EX60, équivalent électrique du XC60, sera présenté le 21 janvier 2026, avec une arrivée sur routes françaises envisagée pour la fin du premier semestre. Volvo promet une nouvelle base technique plus efficiente (SPA3) et un tarif proche de l’actuel XC60 hybride rechargeable, ce qui est crucial pour le TCO en flotte premium.

Kia EV2 (été 2026)

Le Kia EV2, petit SUV sous les 30 000 €, est annoncé pour l’été 2026 avec une autonomie autour de 380–400 km. Il permettra aux flottes de proposer un SUV compact électrique accessible tout en restant attractif pour les collaborateurs.

Berlines et breaks électriques : l’électrique pour gros rouleurs

Les berlines et breaks électriques de nouvelle génération veulent remplacer les thermiques sur les gros kilométrages, grâce à des autonomies supérieures à 700–800 km et des puissances de recharge élevées.​

BMW i3 Neue Klasse (courant 2026)

La future BMW i3 « Neue Klasse », version électrique de la prochaine Série 3, reprendra la base technique inaugurée par le SUV iX3. BMW vise une autonomie de plus de 800 km et une recharge jusqu’à 400 kW, ce qui en fait une candidate naturelle pour les grands rouleurs haut de gamme.

Mercedes Classe C électrique (commercialisation 2026)

La Classe C 100% électrique, basée sur la plateforme MB.EA en 800 V, devrait arriver en 2026 avec une batterie autour de 94 kWh et une autonomie proche de 800 km. Une puissance de recharge annoncée jusqu’à 330 kW en fera un outil performant pour les longs trajets, tout en restant sur une silhouette classique rassurante pour la clientèle.​

Sportive d’image : un levier marque employeur

Certaines entreprises intègrent un modèle très statutaire pour la communication, les événements ou les dotations exceptionnelles, avec un impact fort sur la marque employeur.​

Alpine A110 électrique (fin de production thermique mi‑2026, nouvelle génération après 2026)

Alpine arrêtera la production de l’A110 thermique mi‑2026 et enchaînera avec une nouvelle génération 100% électrique sur base inédite APP. Même si la version électrique pourrait arriver après 2026, son annonce et sa montée en puissance seront déjà structurantes pour l’image de l’électrique sportive française et les flottes cherchant un modèle vitrine.​

Ferrari Elettrica (printemps 2026 – première mondiale, livraisons fin 2026)

La première Ferrari électrique, provisoirement baptisée Elettrica, est annoncée pour une première mondiale au printemps 2026, avec des livraisons attendues fin 2026. Cette GT 4 portes et 4 places dépassera les 1 000 ch, offrira environ 530 km d’autonomie grâce à une batterie de 122 kWh, et une recharge jusqu’à 350 kW. Pour une entreprise, il s’agit d’un pur véhicule image, mais au potentiel de communication colossal sur l’innovation et la performance électrique.

Conclusion : 2026, une année à ne pas rater pour structurer sa flotte électrique

L’arrivée simultanée de citadines abordables, de compactes très efficientes, de SUV familiaux à grande autonomie et même de sportives emblématiques comme l’Alpine A110 électrique ou la Ferrari Elettrica transforme 2026 en véritable tournant pour le marché. Pour les entreprises, ce n’est plus seulement une question d’image verte : entre fiscalité de plus en plus incitative vers le zéro émission et durcissement progressif des malus pour les thermiques, l’électrique devient un choix rationnel de TCO et de conformité réglementaire.

Nos articles qui peuvent vous intéresser

Essais et comparatifs
Tous
30/11/2025

Top 15 des véhicules électriques les plus attendus en 2026 pour les entreprises

Lire l’article

2026, l’année pivot pour l’électrification des flottes

2026 s’annonce comme l’une des années les plus importantes pour la mobilité électrique professionnelle. Plusieurs éléments convergent :

  • accélération réglementaire (LOM, LEZ, normes CAFE),
  • durcissement des politiques ESG,
  • maturité technologique des plateformes électriques,
  • baisse progressive du coût des batteries,
  • arrivée massive de nouvelles offres adaptées aux flottes B2B.

Les constructeurs européens, coréens et chinois préparent une vague de lancements majeurs pour 2026-2027, couvrant tous les segments : citadines low-cost, compactes polyvalentes, SUV électriques, berlines routières et modèles premium.

Pour les entreprises, ces nouveautés représentent une opportunité d’optimiser leur TCO, d’améliorer les AEN, et de préparer une stratégie multi-énergies cohérente grâce notamment à Evera Fleet.

Cet article présente les 15 modèles 100 % électriques les plus attendus en 2026.

Citadines électriques 2026 : l’arme ZFE des flottes urbaines

Les citadines électriques sont le premier levier pour électrifier des flottes urbaines à coûts maîtrisés, notamment pour les usages du « dernier kilomètre », les visites en centre‑ville ou les petits déplacements quotidiens. En 2026, plusieurs modèles abordables arrivent sur le marché, avec des prix ciblés sous les 25 000 €.​

Renault Twingo E‑Tech (annonce 06/11/2025, commercialisation courant 2026)

La nouvelle Twingo électrique est annoncée comme une citadine très accessible, pensée pour le marché européen avec une forte vocation urbaine. Sa taille compacte, son rayon de braquage et son positionnement prix la destinent clairement aux flottes urbaines et parcs mutualisés opérant en ZFE.

Dacia Spring II / Evader (fin 2026)

La prochaine Spring, parfois évoquée sous le nom Evader, arriverait en fin 2026, étroitement dérivée de la nouvelle Twingo électrique. Dacia vise un prix sous les 18 000 € et une production européenne pour maximiser l’accès aux aides à l’achat, ce qui en fait une arme de volume pour l’électrification massive de petites flottes.​

Volkswagen ID.Polo (présentation printemps 2026, livraisons rentrée 2026)

La nouvelle ID.Polo, équivalent électrique de la Polo, doit être dévoilée au printemps 2026 avec des livraisons attendues à la rentrée. Le modèle vise des autonomies d’environ 300 à 450 km et un prix de base autour de 25 000 €, ce qui en fait une candidate sérieuse pour les flottes voulant basculer leurs citadines thermiques.

Compactes électriques : le nouveau cœur de flotte

Les compactes électriques vont devenir le segment pivot des flottes mixtes ville/route, avec un meilleur équilibre entre autonomie, confort et coût de détention. Elles sont appelées à remplacer progressivement les compactes thermiques dans les car policies.​

Hyundai Ioniq 3 (courant 2026)

Inspirée du concept THREE, la Ioniq 3 adoptera une silhouette de compacte fastback, reposant sur la base E‑GMP. Les batteries attendues (proches de celles de la Kia EV4) devraient permettre une autonomie dépassant les 600 km, intéressante pour les commerciaux grands territoires.

Peugeot e‑208 III (Mondial de Paris octobre 2026)

La nouvelle génération de 208 100% électrique est pressentie pour un reveal au Mondial de l’Automobile d’octobre 2026, avec une autonomie pouvant s’approcher des 500 km. Elle reposera sur la base STLA Small et inaugurera un nouvel i‑Cockpit, ce qui en fait une option moderne et polyvalente pour les flottes urbaines et périurbaines.

Audi A2 e‑tron (fin 2026)

L’Audi A2 e‑tron, compacte électrique annoncée pour fin 2026, viendra compléter l’offre du groupe sous les Q4 et ID.3. Avec une autonomie estimée autour de 400 km et un positionnement plus premium, elle parlera aux flottes haut de gamme qui veulent rester sur des formats compacts.

Kia EV4 (courant 2026)

La Kia EV4, berline électrique à grande autonomie, est annoncée avec environ 625 km WLTP dans les premiers éléments communiqués. Elle se positionne comme une solution très compétitive pour les commerciaux grands rouleurs en quête d’un TCO maîtrisé et d’une image moderne.

SUV électriques : image, sécurité et polyvalence

Les SUV restent très demandés pour la position de conduite haute, le sentiment de sécurité et la capacité familiale. En 2026, plusieurs SUV électriques ciblent directement les parcs premium et les véhicules de fonction.​

DS N°7 électrique (présentation début 2026)

Sur base STLA Medium, le DS N°7 remplacera le DS 7 et proposera une version 100% électrique avec une grosse batterie autour de 97 kWh pour une autonomie proche de 750 km. Sa silhouette de SUV statutaire et son positionnement haut de gamme en font un modèle privilégié pour les directions et top managers.​

Skoda Epiq (lancement 2026)

Le Skoda Epiq, SUV urbain d’environ 4,10 m, doit concrétiser l’offensive citadine électrique du groupe Volkswagen en 2026. Il misera sur une excellente habitabilité, un coffre généreux (annoncé à 475 L) et des prix placés, ce qui en fait un outil intéressant pour les flottes cherchant du volume en SUV compact.

Volvo EX60 (présentation 21/01/2026, arrivée fin 1er semestre 2026)

Le Volvo EX60, équivalent électrique du XC60, sera présenté le 21 janvier 2026, avec une arrivée sur routes françaises envisagée pour la fin du premier semestre. Volvo promet une nouvelle base technique plus efficiente (SPA3) et un tarif proche de l’actuel XC60 hybride rechargeable, ce qui est crucial pour le TCO en flotte premium.

Kia EV2 (été 2026)

Le Kia EV2, petit SUV sous les 30 000 €, est annoncé pour l’été 2026 avec une autonomie autour de 380–400 km. Il permettra aux flottes de proposer un SUV compact électrique accessible tout en restant attractif pour les collaborateurs.

Berlines et breaks électriques : l’électrique pour gros rouleurs

Les berlines et breaks électriques de nouvelle génération veulent remplacer les thermiques sur les gros kilométrages, grâce à des autonomies supérieures à 700–800 km et des puissances de recharge élevées.​

BMW i3 Neue Klasse (courant 2026)

La future BMW i3 « Neue Klasse », version électrique de la prochaine Série 3, reprendra la base technique inaugurée par le SUV iX3. BMW vise une autonomie de plus de 800 km et une recharge jusqu’à 400 kW, ce qui en fait une candidate naturelle pour les grands rouleurs haut de gamme.

Mercedes Classe C électrique (commercialisation 2026)

La Classe C 100% électrique, basée sur la plateforme MB.EA en 800 V, devrait arriver en 2026 avec une batterie autour de 94 kWh et une autonomie proche de 800 km. Une puissance de recharge annoncée jusqu’à 330 kW en fera un outil performant pour les longs trajets, tout en restant sur une silhouette classique rassurante pour la clientèle.​

Sportive d’image : un levier marque employeur

Certaines entreprises intègrent un modèle très statutaire pour la communication, les événements ou les dotations exceptionnelles, avec un impact fort sur la marque employeur.​

Alpine A110 électrique (fin de production thermique mi‑2026, nouvelle génération après 2026)

Alpine arrêtera la production de l’A110 thermique mi‑2026 et enchaînera avec une nouvelle génération 100% électrique sur base inédite APP. Même si la version électrique pourrait arriver après 2026, son annonce et sa montée en puissance seront déjà structurantes pour l’image de l’électrique sportive française et les flottes cherchant un modèle vitrine.​

Ferrari Elettrica (printemps 2026 – première mondiale, livraisons fin 2026)

La première Ferrari électrique, provisoirement baptisée Elettrica, est annoncée pour une première mondiale au printemps 2026, avec des livraisons attendues fin 2026. Cette GT 4 portes et 4 places dépassera les 1 000 ch, offrira environ 530 km d’autonomie grâce à une batterie de 122 kWh, et une recharge jusqu’à 350 kW. Pour une entreprise, il s’agit d’un pur véhicule image, mais au potentiel de communication colossal sur l’innovation et la performance électrique.

Conclusion : 2026, une année à ne pas rater pour structurer sa flotte électrique

L’arrivée simultanée de citadines abordables, de compactes très efficientes, de SUV familiaux à grande autonomie et même de sportives emblématiques comme l’Alpine A110 électrique ou la Ferrari Elettrica transforme 2026 en véritable tournant pour le marché. Pour les entreprises, ce n’est plus seulement une question d’image verte : entre fiscalité de plus en plus incitative vers le zéro émission et durcissement progressif des malus pour les thermiques, l’électrique devient un choix rationnel de TCO et de conformité réglementaire.

Essais et comparatifs
Tous
24/11/2025

Porsche Taycan 4S Berline Performance (2023) : Une berline luxueuse à la hauteur de son prix ?

Lire l’article

La Porsche Taycan 4S Berline avec Batterie Performance Plus de 2023 représente l'incarnation premium de l'électrification chez le constructeur de Stuttgart. Dans un marché des berlines électriques en pleine effervescence, ce modèle vise les professionnels exigeants, alliant performances sportives et efficacité énergétique. Chez Evera, nous l'avons testé sur plus de 500 kilomètres mixtes, incluant autoroutes et routes sinueuses, pour évaluer son potentiel en contexte d'entreprise. Ce véhicule cible les flottes directionnelles où l'image de marque et la responsabilité environnementale priment, tout en maintenant un agrément de conduite exceptionnel.

Premières impressions : Un équilibre entre sportivité et raffinement 9/10

Dès le premier regard, la Taycan 4S impose une présence magnétique. Sa silhouette basse et élancée, avec une longueur de 4,96 mètres, évoque la fluidité d'une GT classique tout en intégrant subtilement les codes de l'électrique : absence de calandre proéminente et lignes aérodynamiques optimisées pour un Cx de 0,22. L'accès à bord se fait avec une aisance surprenante pour une Porsche, grâce à des portes suicide-like en option qui facilitent l'installation des passagers arrière. Au démarrage silencieux, l'accélération linéaire et le couple instantané (710 Nm en mode Launch Control) procurent une sensation viscérale de puissance contenue. Sur le parking d'Evera, elle attire immédiatement les regards, renforçant son rôle de statement pour les dirigeants. Seule réserve : le poids de 2 220 kg se fait sentir à l'arrêt, rappelant que l'aluminium et la batterie alourdissent l'ensemble par rapport à une 911 thermique. Pour les professionnels, cette première prise en main souligne un véhicule taillé pour les trajets exécutifs, où le zéro émission s'accorde avec le prestige.

Design Extérieur : Élégance intemporelle et aérodynamisme 8/10

Le design de la Taycan 4S Berline reste fidèle à l'ADN Porsche, avec une calandre "ferme" stylisée et des phares Matrix LED étirés qui confèrent une identité forte. Les jantes de 20 pouces en noir satiné, montées sur des pneus Michelin Pilot Sport EV, accentuent son allure athlétique, tandis que les prises d'air latérales fonctionnelles optimisent le refroidissement de la batterie. La carrosserie en aluminium, peinte ici en noir Jet pour un look discret professionnel, mesure 1,38 m de hauteur, favorisant une posture dynamique sans excès SUV. Critiquement, les rétroviseurs virtuels en option (caméras) réduisent la traînée, mais leur adaptation demande un temps d'habitude en usage urbain dense. Comparée à ses devancières, cette version 2023 affine les détails comme les feux arrière connectés qui s'étirent sur toute la largeur, créant un effet de profondeur nocturne impressionnant. Pour les flottes d'entreprise, ce design intemporel minimise la dépréciation, un atout clé en leasing longue durée. Si l'ensemble séduit par sa cohérence, il manque toutefois d'audace face à des rivaux plus futuristes, comme certains concepts Mercedes.

Vie à bord : Luxe fonctionnel et ergonomie premium 8/10

À l'intérieur, la Taycan 4S offre un habitacle spacieux pour une berline sportive, avec un empattement de 2,90 m qui libère les jambes avant et arrière. Les sièges en cuir alcantara ventilés et chauffants enveloppent le conducteur d'un maintien ferme, idéal pour des trajets autoroutiers de plus de 300 km sans fatigue. Le tableau de bord incurvé, dominé par deux écrans tactiles de 16,8 pouces (instrumentation et infodivertissement), délivre une interface fluide sous Porsche Communication Management (PCM). L'espace pour les passagers arrière est généreux pour deux adultes, mais le toit panoramique en verre optionnel réduit légèrement la garde au toit, un point critique pour les grands gabarits en costume d'affaires. Le coffre avant (frunk) de 81 litres avale les câbles de recharge, tandis que celui arrière de 407 litres convient pour un week-end exécutif, sans plus. Critiquement, l'absence de moquette épaisse rend l'habitacle un brin résonnant sur routes dégradées, et les commandes physiques (comme le mode de conduite sur le volant) pourraient être plus intuitives pour des conducteurs novices en électrique. Chez Evera, nous apprécions l'intégration d'Apple CarPlay sans fil, parfaite pour les visioconférences en déplacement. Pour en savoir plus sur l'optimisation des avantages en nature pour de tels véhicules, consultez notre guide sur les AEN 2025.

Motorisation : Puissance électrique débridée et transmission intégrale 9/10

Sous le capot, la Taycan 4S embarque deux moteurs synchrone à aimants permanents (un avant de 190 kW, un arrière de 250 kW en overboost), délivrant 517 ch cumulés, gonflés à 598 ch via Launch Control. Le couple de 710 Nm propulse l'auto de 0 à 100 km/h en 3,7 secondes, avec une vitesse max bridée à 250 km/h. La batterie Performance Plus de 105 kWh bruts (97 kWh utilisables) à architecture 800 V assure une efficacité remarquable, avec une consommation mixte réelle autour de 20 kWh/100 km lors de notre essai. La transmission à deux vitesses sur l'essieu arrière simule une boîte mécanique pour une reprise plus vive, tandis que le Porsche Traction Management (PTM) distribue intelligemment le couple pour une motricité impeccable, même sur sol mouillé. Critiquement, en mode Normal, la consommation grimpe à 24 kWh/100 km en conduite dynamique, pénalisant l'autonomie sur longs trajets. Pour les entreprises, cette motorisation brille par sa linéarité, évitant les surconsommations thermiques, et s'intègre parfaitement à une stratégie d'électrification de flotte. Les modes de récupération d'énergie (jusqu'à 0,3 g en décélération) renforcent l'aspect éco-responsable, aligné avec les objectifs ESG.

Essai routier : Agrément sportif et stabilité exemplaire 9/10

Sur route, la Taycan 4S excelle par son châssis affûté, avec une suspension pneumatique adaptative à deux chambres et le Porsche Active Suspension Management (PASM) qui alternent entre confort feutré et tenue de cap incisive. Lors de notre parcours sur les routes varoises, elle avale les virages avec une précision chirurgicale, le centre de gravité bas (batterie sous les sièges) annihilant le roulis malgré les 2,2 tonnes. En mode Sport Plus, le son synthétique des moteurs et le feedback directionnel (variable en option) recréent l'essence Porsche, avec un rayon de braquage de 11,7 m facilitant les manœuvres urbaines. Sur autoroute, la stabilité à 130 km/h est irréprochable, et les roues arrière directrices (en option) aident aux insertions fluides. Critiquement, les pneus run-flat limitent légèrement le confort sur pavés parisiens, générant des vibrations perceptibles, et le poids se ressent en freinage d'urgence, où les étriers en acier (non carbones) chauffent vite. Globalement, cet essai routier confirme la Taycan comme une référence pour les professionnels en déplacement, où la performance n'altère pas la sérénité. Pour comparer avec d'autres berlines électriques premium, découvrez notre sélection des 5 meilleures voitures électriques pour entreprises en 2025.

Autonomie et Recharge : Efficacité 800 V au service de la mobilité 8/10

Avec une autonomie WLTP de 549 à 642 km, la Taycan 4S Performance Plus tient ses promesses en conditions mixtes, notre essai enregistrant 520 km réels sur cycle autoroute-ville. La batterie 800 V permet une recharge ultra-rapide : 10 à 80 % en 18 minutes à 320 kW sur borne compatible, récupérant 299 km en 10 minutes. En AC 11 kW, une charge complète prend 11 heures, idéal pour une nuit au garage d'entreprise. Critiquement, en hiver ou à pleine charge, l'autonomie chute à 400 km, et les bornes 400 V limitent le débit à 135 kW (33 minutes pour 70 %). Le système de gestion thermique préconditionne la batterie pour optimiser les sessions, un plus pour les flottes nomades. Chez Evera, nous recommandons d'intégrer ce modèle à une infrastructure dédiée ; pour explorer nos solutions de bornes et badges de recharge, visitez nos offres de recharge pour entreprises. Bien que leader en rapidité, elle reste sensible à la température ambiante, un point à surveiller pour les usages intensifs.

Technologies embarquées : Infodivertissement avancé et aides à la conduite 8/10

La Taycan 4S intègre un arsenal technologique Porsche, avec le PCM 5.0 gérant navigation, connectivité 5G et hotspot Wi-Fi pour jusqu'à 15 appareils – parfait pour les réunions en déplacement. Les aides à la conduite incluent l'adaptatif InnoDrive (cruise control prédictif), la surveillance des angles morts et le freinage d'urgence autonome, notés 5 étoiles Euro NCAP. L'écran head-up display projette la vitesse et les flèches de navigation, tandis que l'audio Burmester 21 haut-parleurs enveloppe l'habitacle. Critiquement, l'interface tactile, bien que réactive, surcharge l'utilisateur avec ses multiples menus, et les mises à jour over-the-air (OTA) sont espacées, contrairement à Tesla. Pour les professionnels, la compatibilité avec les flottes connectées (via API Evera Fleet) facilite le suivi. Ces technologies renforcent la productivité, mais demandent une formation pour les conducteurs d'entreprise.

Positionnement prix : Premium accessible avec leasing optimisé 7/10

Tarifée à partir de 117 170 € en France (2023), la Taycan 4S Performance Plus grimpe vite avec options (jusqu'à 130 000 € pour notre exemplaire). En leasing LLD via Evera Lease, les loyers mensuels tournent autour de 1 000 € HT pour 48 mois/60 000 km, incluant entretien et assistance. Critiquement, le surcoût initial par rapport à une Panamera thermique (environ 20 % plus cher) pèse sur le TCO à court terme, malgré zéro malus CO₂ et TVS réduite (50 % d'abattement). La garantie batterie 8 ans/160 000 km rassure, mais la dépréciation reste élevée (environ 40 % après 3 ans). Pour les entreprises, les aides fiscales (bonus écologique résiduel et récupération TVA à 100 % sur recharge) amortissent l'investissement. Pour calculer précisément votre TCO, utilisez notre simulateur gratuit. Ce positionnement cible les flottes haut de gamme, mais exige une stratégie pluriannuelle pour rentabiliser.

Vis à vis de la concurrence : Leader en sportivité, challengé en polyvalence 8/10

Face à l'Audi e-tron GT (plus spacieuse, 500 km d'autonomie), la Taycan 4S l'emporte en agilité et recharge (18 min vs. 22 min), mais perd en coffre (407 L vs. 480 L). La Mercedes-AMG EQS 53 offre plus de luxe (écrans hyperscreen) et d'autonomie (660 km), mais sa consommation grimpe en dynamique (25 kWh/100 km). La BMW i7 M60xDrive rivalise en puissance (544 ch), avec un intérieur plus vaste, mais sa recharge 400 V est plus lente. Critiquement, la Taycan excelle en conduite pure, mais ses rivales allemandes gagnent en modularité pour usages familiaux ou commerciaux. Chez Evera, elle se distingue pour les directeurs en solo, alignée sur une mobilité premium zéro émission. Pour d'autres essais comparatifs, explorez notre article sur les berlines électriques premium.

Notes, conclusions, bilan : Un fleuron électrique pour élites professionnelles 8/10 global

La Porsche Taycan 4S Berline Batterie Performance Plus 2023 s'impose comme un choix d'excellence pour les flottes directionnelles chez Evera, où performances, prestige et zéro émission convergent. Ses atouts : accélération fulgurante, recharge 800 V et stabilité, en font un vecteur d'image forte pour les PME et ETI engagées en RSE. Cependant, son prix élevé et son coffre limité le destinent plus aux usages exécutifs qu'aux flottes polyvalentes.

Bilan : un véhicule qui élève la mobilité électrique sans compromis sur le plaisir, idéal pour une transition premium. Chez Evera, nous le recommandons en LLD pour maximiser les économies fiscales et le ROI sur 4 ans. Pour auditer votre flotte et intégrer la Taycan, contactez-nous via notre outil d'audit gratuit.

Note de la rédaction

4,0/5

Détails des notes

Design
4,0/5
Confort
4,1/5
Motorisation
4,5/5
Autonomie
4,0/5
Recharge
4,0/5
Conduite
4,5/5
Technologies
4,0/5
Prix / prestations
3,5/5


Points forts

  • Recharge ultra-rapide (320 kW)
  • Tenue de route exemplaire
  • Technologies de pointe
  • Prestige et design Porsche

Points faibles

  • Prix élevé
  • Poids conséquent
  • Confort perfectible sur routes dégradées

Simulateur d’autonomie (estimatif)

Autonomie estimée : km

* Estimation Evera Lease — données indicatives selon vitesse, température et charge.
Essais et comparatifs
Tous
22/11/2025

Hyundai Tucson Hybrid 215ch (2025) : Polyvalence et innovation au rendez-vous

Lire l’article

Le Hyundai Tucson Hybrid 215 Creative N-Line représente l'évolution d'un SUV compact qui vise à conquérir le segment des hybrides non rechargeables en misant sur un équilibre entre performance, technologie et design sportif. Dans un marché saturé de propositions similaires, ce modèle de 2025 se distingue par sa finition N-Line, qui injecte une dose d'agressivité esthétique sans sacrifier le confort quotidien. Destiné aux conducteurs exigeants, qu'ils soient en usage personnel ou professionnel, il promet une consommation modérée et une polyvalence accrue. Cet essai explore ses moindres recoins, en mettant l'accent sur ses forces et ses faiblesses, pour aider à décider si ce Tucson mérite une place dans une flotte ou un garage privé.

Premières impressions 7/10

Dès les premiers regards, le Hyundai Tucson Hybrid 215 Creative N-Line impose une présence affirmée sur la route. Son gabarit généreux – 4,64 m de long, 1,86 m de large et 1,66 m de haut – lui confère une stature imposante, typique des SUV compacts actuels, mais rehaussée par les touches N-Line : jantes 19 pouces en alliage noir brillant, pare-chocs sportifs avec prises d'air élargies et un becquet arrière discret qui accentue son allure dynamique. La calandre Parametric Hidden, signature Hyundai, s'illumine de LED paramétriques qui s'animent à l'approche, créant un effet futuriste sans excès.

En s'installant au volant, l'habitacle respire la qualité, avec des matériaux mixtes cuir/Alcantara sur les sièges sport et un tableau de bord épuré dominé par deux écrans 12,3 pouces côte à côte. Le démarrage en mode électrique silencieux surprend agréablement, masquant la présence du moteur essence sous le capot. Cependant, les plastiques durs sur les contre-portes trahissent un certain compromis sur la finition haut de gamme, et le poids ressenti – près de 1 700 kg – se fait vite sentir en manœuvres urbaines. Globalement, ces premières impressions évoquent un véhicule mature, prêt à affronter autoroute et ville, mais qui pourrait gagner en légèreté pour une agilité immédiate. Pour approfondir les choix entre hybrides et électriques purs, consultez notre guide comparatif Hybride vs Électrique : lequel choisir en 2025 ?.

Design Extérieur 8/10 : Athlétique et moderne, avec une finition N-Line qui dynamise l'ensemble

Le design extérieur du Tucson Hybrid Creative N-Line 2025 marque une continuité réussie avec la génération précédente, tout en affinant ses lignes pour un rendu plus athlétique. La face avant, avec sa calandre massive et ses phares LED "seamless" intégrés, projette une image moderne et agressive, renforcée par les éléments N-Line : logo spécifique, diffuseur arrière noir laqué et jantes 19 pouces au motif diamanté qui ajoutent une touche premium. Les flancs sculptés, avec des passages de roues prononcés, soulignent sa stature musclée, tandis que l'arrière adopte des feux horizontaux connectés qui s'étirent sur toute la largeur, pour un effet visuel élargi.

Les dimensions généreuses (empattement de 2,75 m) garantissent une stabilité visuelle, et les coloris bi-ton (comme le noir avec toit contrasté) personnalisent l'ensemble sans alourdir la silhouette. Critiquement, les rétroviseurs trop larges gênent parfois la visibilité latérale en stationnement, et l'absence d'options comme les étriers de frein Brembo visibles limite le côté "performance" pur. Néanmoins, ce design séduit par sa polyvalence : il passe sans complexe d'une réunion d'affaires à un week-end familial. Imaginez-le garé devant un bureau contemporain, sa carrosserie bleu océan reflétant la lumière, prêt à avaler des kilomètres sans effort apparent. Pour explorer d'autres SUV hybrides en essai, découvrez notre test du Renault Symbioz E-Tech Full Hybride.

Vie à bord 8/10 : Espace généreux et ergonomie soignée, malgré quelques plastiques perfectibles

À l'intérieur, le Tucson Creative N-Line offre un espace généreux qui justifie son appellation de SUV familial. Les cinq places accueillent sans peine des adultes de grande taille, avec 1,04 m d'espace aux jambes à l'arrière et un coffre de 616 litres (extensible à 1 799 litres sièges rabattus), idéal pour transporter bagages ou matériel professionnel. Les sièges avant, en cuir perforé avec surpiqûres rouges N-Line, sont chauffants et ventilés, procurant un maintien ferme sans rigidité excessive lors de longs trajets. Le volant gainé cuir, avec palettes de changement de vitesse, tombe naturellement sous les mains, et l'Alcantara sur les accoudoirs ajoute une texture tactile plaisante.

L'ergonomie est un point fort : les commandes physiques pour le climatiseur (bi-zone) cohabitent avec l'infodivertissement tactile, évitant les frustrations des interfaces 100 % numériques. Cependant, les aérations centrales basses diffusent mal l'air vers l'arrière, et les plastiques glossy autour des écrans attirent les traces de doigts, nuisant à l'aspect premium sur le long terme. L'éclairage d'ambiance à LED, réglable en 64 couleurs, crée une atmosphère cosy le soir, tandis que les portes s'ouvrent avec un bruit sourd et rassurant. On s'y sent protégé, comme dans un cocon high-tech, avec assez de rangements (console centrale coulissante, poches aérées) pour organiser un quotidien chargé. Pour calculer l'impact fiscal d'un tel véhicule en entreprise, utilisez notre simulateur Avantage en Nature 2025.

Motorisation 7/10 : Puissant et sobre, mais hybride classique sans innovation EV marquée

Sous le capot, le Tucson Hybrid 215 Creative N-Line embarque un système hybride auto-rechargeant éprouvé : un moteur essence 1.6 T-GDi turbo de 180 ch (132 kW) associé à un électrique de 44 kW, pour une puissance cumulée de 215 ch et un couple de 367 Nm. La batterie lithium-ion-polymère de 1,49 kWh se recharge via récupération d'énergie au freinage ou en décélération, sans prise externe. La boîte automatique à 6 rapports assure des passages fluides, priorisant l'efficacité sur la sportivité.

Ce duo délivre des performances solides – 0 à 100 km/h en 8,2 secondes, vitesse max limitée à 191 km/h – avec un mode électrique pur limité à 50 km/h et environ 2-3 km d'autonomie en ville. La consommation mixte WLTP s'établit à 5,8 l/100 km, réaliste en usage routier mais grimpant à 7 l en ville chargée. Critiquement, l'absence de 4x4 de série (option HTRAC à 2 000 €) limite la motricité sur sol glissant, et le bruit du moteur essence sous accélération forte rappelle qu'il s'agit d'un hybride, non d'un pur électrique. La suspension N-Line, plus ferme, absorbe bien les irrégularités sans talonner, offrant un compromis routier équilibré. Pour évaluer le coût total de possession, consultez notre simulateur TCO.

Essai routier 8/10 : Polyvalent et stable, pour un quotidien sans faille

Sur route, le Tucson Hybrid 215 Creative N-Line révèle un comportement polyvalent qui flatte le conducteur sans le submerger. En ville, le mode hybride gère intelligemment les transitions essence/électrique, permettant des départs silencieux aux feux et une fluidité remarquable dans la circulation dense. Les aides au stationnement (caméra 360° et capteurs) facilitent les manœuvres, malgré le rayon de braquage moyen de 11,8 m qui le rend moins agile qu'un rival comme le Kia Sportage.

Sur autoroute, la stabilité est exemplaire grâce à l'empattement long et au centre de gravité bas ; à 130 km/h, le bruit reste contenu à 68 dB, et la consommation se stabilise autour de 6 l/100 km. Le mode Sport raffermit la direction (assistée électrique) et réveille le couple pour des reprises vives (70-120 km/h en 6 secondes), mais sans l'enthousiasme d'un vrai SUV sportif. En départementale sinueuse, la suspension pilotée (option à 800 €) excelle, limitant le roulis et maintenant une trajectoire précise, bien que le poids se fasse sentir dans les virages serrés. Freinage progressif, avec récupération d'énergie perceptible, et pneus Michelin Pilot Sport 4S qui adhèrent sans broncher. On imagine aisément une journée type : départ matinal fluide, croisière autoroutière reposante, et retour sinueux dynamique. Un bémol : les vibrations du moteur à bas régime en mode EV perturbent parfois l'harmonie. Pour d'autres essais de SUV, lisez notre analyse de la Peugeot E-208 GT 2025.

Autonomie et Recharge 6/10 : Pratique sans prise, mais limitée en mode électrique pur

En tant qu'hybride non rechargeable, le Tucson Hybrid 215 Creative N-Line ne dépend pas d'une prise externe, ce qui simplifie son usage quotidien. La batterie de 1,49 kWh permet une autonomie électrique théorique de 128 km en cycle WLTP mixte, mais en réalité, elle se limite à 2-4 km en mode pur EV, priorisant l'assistance au thermique pour une consommation globale de 5,8 l/100 km (essence 95). Sur un plein de 54 litres, cela équivaut à environ 800-900 km d'autonomie totale, idéal pour les longs trajets sans contrainte de recharge.

La recharge se fait automatiquement via le freinage régénératif (ajustable via palettes) ou en descente, récupérant jusqu'à 30 % d'énergie en usage urbain. Pas de Wallbox ni de câble fourni, ce qui évite les complications mais limite l'efficacité en ville par rapport à un PHEV. Critiquement, l'absence de mode EV prolongé déçoit dans les zones à faibles émissions (ZFE), où le passage fréquent à l'essence augmente la conso à 7-8 l/100 km. Pour les flottes, cela signifie une dépendance au réseau essence, mais avec un TCO avantageux grâce à la sobriété. Imaginez un parcours mixte : ville silencieuse le matin, autoroute économique l'après-midi, sans jamais s'inquiéter d'une borne. Pour des conseils sur la transition vers l'électrique, explorez notre article sur les avantages des véhicules électriques pour les TPE et PME.

Technologies embarquées 9/10 : Complet et intuitif, au top du segment

Le Tucson Creative N-Line brille par son arsenal technologique, au diapason des standards 2025. L'infodivertissement repose sur deux écrans 12,3 pouces (navigation, multimédia, compteurs) avec interface Bluelink intuitive, compatible Apple CarPlay et Android Auto sans fil. Les commandes vocales "Hey Hyundai" gèrent climatisation, navigation et appels avec précision, tandis que l'audio Bose 8 haut-parleurs enveloppe l'habitacle d'un son clair, même à vitesse soutenue.

Côté sécurité, le pack Hyundai SmartSense est complet : freinage d'urgence autonome (FCA) avec détection piétons/cyclistes, maintien dans la voie actif (LKA), régulateur adaptatif intelligent (SCC) et surveillance angles morts (BCW). La caméra 360° HD et le moniteur de fatigue du conducteur ajoutent une couche de sérénité. Critiquement, l'écran tête haute (option 700 €) projette les infos essentielles sans distraire, mais l'absence de réalité augmentée (comme chez certains concurrents) limite l'innovation. Les ports USB-C multiples et la charge sans fil 15W facilitent la connectivité pro. On visualise un conducteur en visio-conférence, smartphone rechargé, alertes trafic en temps réel guidant vers une réunion sans stress. Pour optimiser la gestion de flotte, découvrez Evera Fleet.

Positionnement prix 7/10 : Équilibré pour les pros, avec un TCO attractif

Tarifé à 43 750 € TTC en finition Creative N-Line 2025, le Tucson Hybrid 215 se positionne en milieu de gamme des SUV hybrides compacts, incluant de série toit ouvrant panoramique, sièges ventilés et caméra 360°. Ajoutez 2 000 € pour le 4x4 HTRAC et 800 € pour la suspension adaptative, portant le total à près de 47 000 € bien équipé. En LLD via Evera Lease, les loyers mensuels tournent autour de 500-600 € HT (36 mois, 30 000 km/an), avec entretien inclus, rendant l'offre attractive pour les entreprises.

Fiscalement, ses 8 CV fiscaux et vignette Crit'Air 1 minimisent la TVS (environ 200 €/an) et l'AEN (réduite de 20 % pour hybrides). Cependant, face à l'inflation des malus CO2, son prix d'entrée élevé (sans bonus écologique pour HEV) le rend moins compétitif qu'un EV subventionné. Le TCO reste bas grâce à la fiabilité Hyundai (garantie 5 ans/km illimité) et la revente soutenue. Critiquement, des options comme les jantes 19" augmentent la facture sans gain essentiel. Pour les pros, c'est un investissement rentable sur 4 ans, mais calculez précisément avec notre outil Car Policy.

Vis à vis de la concurrence 8/10 : Solide challenger, polyvalent face aux leaders

Dans le segment des SUV hybrides compacts, le Tucson Creative N-Line 2025 se mesure au Toyota RAV4 Hybrid (47 000 €, plus fiable mais moins fun), au Kia Sportage Hybrid (42 000 €, cousin partageant la plateforme pour une fiabilité similaire mais design moins audacieux) et au Peugeot 3008 Hybrid (45 000 €, plus stylé intérieurement mais conso plus élevée). Face au Ford Kuga PHEV (48 000 €, avec 50 km EV mais recharge obligatoire), il gagne en simplicité d'usage.

Ses atouts : couple généreux et tech avancée surpassent le Nissan Qashqai e-Power (40 000 €, plus bruyant), tandis que le design N-Line le distingue du Mazda CX-5 Hybrid (44 000 €, plus routier mais moins connecté). Faiblesses : autonomie EV limitée par rapport aux PHEV, et prix supérieur au Renault Austral Hybrid (41 000 €). Globalement, il excelle en polyvalence pour un usage mixte, idéal pour flottes cherchant équilibre sans extrêmes. Pour comparer fiscalement, consultez notre guide sur la réforme des AEN 2025.

Conclusion : Un SUV polyvalent, fiable, avec un prix bien positionné

Le Hyundai Tucson Hybrid 215 Creative N-Line 2025 s'impose comme un SUV hybride convaincant, alliant design sportif, technologies avancées et consommation maîtrisée pour un usage professionnel ou familial. Ses points forts – polyvalence routière, habitacle high-tech et fiscalité avantageuse – en font un choix stratégique pour les entreprises en transition verte, sans les contraintes des EV purs. Cependant, l'autonomie EV modeste et le prix élevé tempèrent l'enthousiasme face à des rivaux plus innovants. Bilan : recommandé pour qui cherche un hybride fiable et fun, prêt à affronter 100 000 km sans sourciller. Chez Evera, il intègre parfaitement nos solutions de LLD pour optimiser votre mobilité durable.

Note de la rédaction

7,6/10

Détails des notes

Design
4,0/5
Confort
4,0/5
Motorisation
3,5/5
Autonomie
3,0/5
Recharge
3,0/5
Conduite
4,0/5
Technologies
4,5/5
Prix / prestations
3,5/5


Points forts

  • Design sportif et séduisant
  • Technologies de pointe et connectivité
  • Espace intérieur généreux
  • Polyvalence routière
  • Fiscalité avantageuse pour les pros

Points faibles

  • Autonomie EV limitée
  • Prix supérieur à certains concurrents
  • Poids élevé affectant l'agilité
  • Plastiques perfectibles dans l'habitacle
  • Absence de certains éléments de performance

Découvrez Evera Fleet, et économisez
jusqu'à 30% sur vos coûts.

Pilotez votre flotte. Optimisez chaque kilomètre.

Découvrir gratuitement
Plus de 1 000 entreprises utilisent Evera pour connecter, gérer, et optimiser leur flotte
Note TrustpilotNote Google
Logo CelioLogo unbottledLogo KheopsLogo iPaidThatLogo O2Logo W2PLogo GANLogo BNP ParibasLogo bpifranceLogo newfund
Logo CelioLogo unbottledLogo KheopsLogo iPaidThatLogo O2Logo W2PLogo GANLogo BNP ParibasLogo bpifranceLogo newfund
Logo CelioLogo unbottledLogo KheopsLogo iPaidThatLogo O2Logo W2PLogo GANLogo BNP ParibasLogo bpifranceLogo newfund